This free 8-page guide
will show you all of the steps needed to build your first 3-string
slide Cigar Box Guitar. The guide makes it easy, outlining all of the
parts and tools you will need (along with helpful hints on where to get
them), and with clear, photo-illustrated instructions on how to assemble
your instrument.
guitare blues rock guitar cours leçon lesson slide lap steel cigarbox tab tabs tablature partition plan littérature science-fiction bd café pain beurre heu non thé vert et une pomme c'est mieux
prime student
How to Build a 3-string Cigar Box Guitar
How to Play Muddy Waters on Cigar Box Guitar
by Shane Speal
Muddy Waters was one of my very first heroes when I was introduced to the blues. He had the swagger and the bravado like no other man who has walked this earth.
He also had a badass guitar technique played with reckless abandon.
After making my first cigar box guitar almost 25 years ago, I realized that a lot of Muddy's early electric blues easily converted to 3-string slide cigar box guitar, tuned Open G (GDG). In fact, most of Muddy's early material on Aristocrat and Chess records was recorded in the key of G. (Thank you for that, Muddy...)
Here are the first three lessons in my ongoing series dedicated to the Mannish Boy. Subscribe to my Youtube channel to be notified on every new video posted.
Le rock est-il mort à Montpellier ?
À
Montpellier, ville qui compte plus de 75 000 étudiants, la musique
résonne dans tous les casques. Mais le rock, genre musical
incontournable dans les années 1990 plaît-il toujours autant aux
Montpelliérains ?
Le rock a-t-il perdu sa superbe ? C’est le constat que dresse Pierre Tomi, programmateur des soirées Rock it to The Moon au Rockstore : « Ces
dernières années, les fréquentations sont en baisse et le public
étudiant se tourne vers d’autres styles. Sur certains concerts, cela
arrive qu’on ne vende aucune place au Crous par exemple (avec un tarif préférentiel pour les étudiants). Quand j’étais étudiant, il fallait se précipiter le jour de la mise en vente. Aujourd’hui, on se réjouit quand on en vend 10 ». Concurrencé par d’autres styles musicaux, le rock souffre. « Le rap ou l’électro sont clairement loin devant aujourd’hui » , affirme Pierre Tomi.
Si dans les années 1990, des groupes de rock comme Nirvana ou Guns N’Roses étaient diffusés dans les boîtes de nuit, ce temps est désormais révolu. Ce public aujourd’hui quadragénaire continue à écouter du rock mais les jeunes générations se rendent moins facilement dans les concerts de rock. Laurent Galichon, leader-guitariste du groupe bittéro-montpelliérain Red Beans and Pepper Sauce observe que la moyenne d’âge du public est plutôt élevée et se situe autour de 40 ans.
Tous les acteurs montpelliérains du rock sont loin de partager cet avis et considèrent que le rock enthousiasme encore très largement. Parmi eux Abel Gibert, programmateur du Black Sheep pour qui « la musique rock conserve toujours la même place. Le public jeune écoute tout style de musique, c’est beaucoup moins clivé qu’il y a quelques années ». Pour Adrien Lagarde, batteur de Dotpal, un groupe de pop rock alternatif montpelliérain « Même au collège, à côté de ceux qui écoutent Jul, il y a des jeunes qui écoutent Nirvana. Notre groupe a un public jeune de 18-30 ans de la même tranche d’âge du groupe. Le rock plus old school, plus hard, déplace un public un peu plus vieux. Dans le rock, il y a à la fois un public âgé et un public jeune ».
Frank Rabeyrolles, programmateur du Black Out pub se montre lui aussi optimiste quant à l’avenir du rock. « Il se transmet de génération en génération. Il évolue beaucoup dans les genres. Il peut redevenir très underground à un moment donné, être plus populaire à un autre moment et cela passe. Le rock va durer. Cela passe par des groupes locomotives qui suscitent des vocations comme Radiohead et Nirvana ». Un avis partagé par Laurent Galichon du groupe Red Beans & Pepper Sauce « tout est une question d’artistes car c’est eux qui permettront le renouvellement et le succès du rock ».
Le Rock’n Roll est-il handicapé par l’absence de vraies stars de moins de quarante ans ? « Il manque une grande locomotive internationale dit Pierre Tomi. J’aurais du mal à citer un véritable tube rock qui a fait le tour du monde sur ces cinq dernières années ». Comme le suggère Abel Gibert, programmateur du Black Sheep « il y a un nouveau style musical tous les 20-30 ans, c’est cyclique. Ces dernières années, il n’y a pas eu de nouveaux courants musicaux ». Mais tout espoir n’est pas perdu : comme le précise Pierre Tomi « il a suffi d’un album enregistré à New York en 2001 pour que tous les étudiants du monde se remettent à porter des Converse et des jeans slims, et rêvent de monter un groupe de rock ». Alors qui seront les prochains Strokes et Nirvana ?
Frank Rabeyrolles, programmateur du Black Out pub insiste sur la difficulté sonore par rapport au voisinage en ville : « Il est très difficile d’insonoriser les salles présentes dans le centre-ville. Une autre difficulté importante c’est l’image que peut véhiculer le rock, une image négative pour certains ». Toutefois, les salles de concert et les scènes ouvertes sont nombreuses et accessibles sur Montpellier. Adrien Lagarde, batteur du groupe Dotpal révèle que « le plus dur c’est de trouver des scènes qui paient normalement. Si tu joues gratuitement tu peux jouer partout » . Le leader-guitariste de Red Beans & Pepper Sauce, Laurent Galichon souligne que « la véritable difficulté c’est de trouver des diffuseurs. Après ce n’est pas plus compliqué à Montpellier qu’ailleurs. Pour les groupes qui débutent, ils peuvent s’appuyer sur des salles subventionnées par les pouvoirs locaux qui servent justement à promouvoir les artistes locaux ».
Si dans les années 1990, des groupes de rock comme Nirvana ou Guns N’Roses étaient diffusés dans les boîtes de nuit, ce temps est désormais révolu. Ce public aujourd’hui quadragénaire continue à écouter du rock mais les jeunes générations se rendent moins facilement dans les concerts de rock. Laurent Galichon, leader-guitariste du groupe bittéro-montpelliérain Red Beans and Pepper Sauce observe que la moyenne d’âge du public est plutôt élevée et se situe autour de 40 ans.
Tous les acteurs montpelliérains du rock sont loin de partager cet avis et considèrent que le rock enthousiasme encore très largement. Parmi eux Abel Gibert, programmateur du Black Sheep pour qui « la musique rock conserve toujours la même place. Le public jeune écoute tout style de musique, c’est beaucoup moins clivé qu’il y a quelques années ». Pour Adrien Lagarde, batteur de Dotpal, un groupe de pop rock alternatif montpelliérain « Même au collège, à côté de ceux qui écoutent Jul, il y a des jeunes qui écoutent Nirvana. Notre groupe a un public jeune de 18-30 ans de la même tranche d’âge du groupe. Le rock plus old school, plus hard, déplace un public un peu plus vieux. Dans le rock, il y a à la fois un public âgé et un public jeune ».
Frank Rabeyrolles, programmateur du Black Out pub se montre lui aussi optimiste quant à l’avenir du rock. « Il se transmet de génération en génération. Il évolue beaucoup dans les genres. Il peut redevenir très underground à un moment donné, être plus populaire à un autre moment et cela passe. Le rock va durer. Cela passe par des groupes locomotives qui suscitent des vocations comme Radiohead et Nirvana ». Un avis partagé par Laurent Galichon du groupe Red Beans & Pepper Sauce « tout est une question d’artistes car c’est eux qui permettront le renouvellement et le succès du rock ».
Le Rock’n Roll est-il handicapé par l’absence de vraies stars de moins de quarante ans ? « Il manque une grande locomotive internationale dit Pierre Tomi. J’aurais du mal à citer un véritable tube rock qui a fait le tour du monde sur ces cinq dernières années ». Comme le suggère Abel Gibert, programmateur du Black Sheep « il y a un nouveau style musical tous les 20-30 ans, c’est cyclique. Ces dernières années, il n’y a pas eu de nouveaux courants musicaux ». Mais tout espoir n’est pas perdu : comme le précise Pierre Tomi « il a suffi d’un album enregistré à New York en 2001 pour que tous les étudiants du monde se remettent à porter des Converse et des jeans slims, et rêvent de monter un groupe de rock ». Alors qui seront les prochains Strokes et Nirvana ?
« Le plus dur c’est de trouver des scènes qui paient normalement »
À Montpellier, les groupes de rock galèrent pour trouver des salles et jouer en centre-ville. Abel Gibert, programmateur du Black Sheep signale que « les groupes de rock ont souvent du mal à trouver des créneaux pour répéter. Il y a un manque de salles de répétitions à louer à des prix abordables ».Frank Rabeyrolles, programmateur du Black Out pub insiste sur la difficulté sonore par rapport au voisinage en ville : « Il est très difficile d’insonoriser les salles présentes dans le centre-ville. Une autre difficulté importante c’est l’image que peut véhiculer le rock, une image négative pour certains ». Toutefois, les salles de concert et les scènes ouvertes sont nombreuses et accessibles sur Montpellier. Adrien Lagarde, batteur du groupe Dotpal révèle que « le plus dur c’est de trouver des scènes qui paient normalement. Si tu joues gratuitement tu peux jouer partout » . Le leader-guitariste de Red Beans & Pepper Sauce, Laurent Galichon souligne que « la véritable difficulté c’est de trouver des diffuseurs. Après ce n’est pas plus compliqué à Montpellier qu’ailleurs. Pour les groupes qui débutent, ils peuvent s’appuyer sur des salles subventionnées par les pouvoirs locaux qui servent justement à promouvoir les artistes locaux ».
Watch Stevie Ray Vaughan, B.B. King and Albert Collins Play "Texas Flood"
Oddly enough, I had actually started revisited his expansive catalog only a month before he died. Which then led me to look for seldom-seen clips of King and his beloved Gibson guitar, Lucille, in action—hopefully with my favorite guitarist of all time, Stevie Ray Vaughan, along for the ride.
Luckily, there's a handful of King-and-Vaughan clips available on YouTube. My favorite of them all, however, is this pro-shot video from April 22, 1988, when Vaughan, King and fellow blues legend Albert Collins performed "Texas Flood" aboard the S.S. President as part of the 1988 New Orleans Jazz & Heritage Festival.
While I usually think of King as "the guitarist who says more with one note than most guitarists say with 20," he seems to have abandoned that philosophy in this clip in favor of some B.B. King-style shredding. Maybe he was inspired by the two fleet-fingered Texans on stage with him.
What we hear (and see) is actually a very exciting, fluid and extended solo by King, who kicks things off with one of the Albert King-style bends so strongly associated with SRV's studio and live versions of the Larry Davis composition. Up next is a solo by Vaughan, who is his usual impressive self, followed by a tasteful solo by Collins, who was known as "the master of the Telecaster" and "the Ice Man."
It's fun to go from the tones of King's Gibson Lucille model to Vaughan's Strat to Collin's extra-pointy Tele. There's a lot of great guitar playing in this video, and it's great to see all the smiling faces and beautiful gear. But it's also a sad reminder that some of the greatest blues players of modern times are gone forever.
Vaughan died August 27, 1990, just before turning 36. Collins died November 24, 1993, at 60. King died May 14, 2015, at 89.
The Fantasy Art of Frank Frazetta
Chances
are you’ve admired the bold, dramatic paintings of Frank Frazetta. But
you haven’t seen the best of his art. A huge collection of his sketches,
drawings and watercolor paintings is going up for sale—and you could
gain a new appreciation for the master. Warning: NSFW images below!
Conan and the Savage Sea
Frazetta’s best friend Doc Dave Winiewicz is auctioning off his collection of Frazetta’s works on Friday at 11 AM PST. And this particular Frazetta collection isn’t the set of images you’ve seen so many times before: the beautiful, polished oil paintings of naked barbarians, monsters, and berserkers. Winiewicz specialized in collecting just Frazetta’s sketches, drawings and watercolors, giving you a very different view of the man who was arguably fantasy’s greatest artist.
Conan the Buccaneer
“The thing that separates my collection from a lot of others is that I concentrated on drawings,” Winiewicz told me when we spoke on the phone. “Because I considered Frazetta to be the greatest draughtsman who ever lived.”
Frazetta was a great creative artist who “should be part of art history,” Winiewicz added. He should be known beyond the science fiction and fantasy community or the tattoo community—he was a great and original enough talent that he should be considered an important artist in his own right. And to Winiewicz’s mind, these drawings and watercolors show off his command of figures.
Mastermind of Mars—Girl with Dagger
Most of the images in this auction were published in one way or another, mostly back in the 1960s and 1970s. But some of hte watercolors are not the final versions of the images that appeared in books or magazines. “Some of the sketches are just sketches, that he did out of the love of sketching,” says Winiewicz.
Kubla Khan
The images in this collection cover “all the different aspects of Frazetta’s career,” says Winiewicz—including some of his pornographic art as well as his art of Conan and Tarzan, plus his own creations like the Death Dealer.
Tarzan and the Castaways cover art
Winiewicz wrote an essay about Frazetta in 1979, and sent it to the artist in 1980. “I was so curious as to why I was so powerfully affected by his art.” The essay is included in the auction book (which you can read as a PDF at the auction site) and Winiewicz says Frazetta was blown away by it—he said, “That’s the best thing that’s ever been written about me.” So they became friends for the next 30 years. Winiewicz would go visit Frazetta every couple of months, and they would hang out and talk about art.
It was like if you lived in the Renaissance and you got to be friends with Michelangelo, says Winiewicz.
Tarzan at the Earth’s Core cover art
Sometimes, Winiewicz would watch Frazetta draw or paint, and say, “Frank, just tell me what you’re thinking while you’re doing this.”
And Frazetta would “engage in a stream of consciousness,” says Winiewicz. “What impressed me was the depth with which he would consider these things.” Frazetta “would build entire scenarios and entire worlds around these images.” His work always had touches of realism alongside images from fantasy, and he put a “part of his soul” into every image.
Flash Gordon Battles the Monster from Mongo
“This guy would sit down and create out of his imagination,” said Winiewicz. “95 percent of his work that he produced was an imaginative work, it wasn’t photoreference.” Frazetta didn’t work with live models or any kind of reference materials, he just drew and painted what he saw in his head.
The one exception was when he did movie posters back in the 1960s—the studios would send him photos of the films’ stars, and he would incorporate their likenesses. But “just about every piece in my catalog is a piece by Frazetta that came out of his imagination, that wasn’t derivative in any way.”
Death Dealer and Snow Queen
Frazetta created his most famous character, the Death Dealer, because “people were starting to circulate a rumor that he had lost it, that he hadn’t produced a great image in a long time,” said Winiewicz. “That got to Frank.”
He immediately sat down and painted the Death Dealer and the Snow Warriors—“two images that people love.”
Death Dealer and Snow Queen
The Death Dealer was on the cover of American Artist magazine, and it was the only time they ever had to go back for a second printing, said Winiewicz.
Lord of the Jungle (Master of Adventure cover)
There’s just so much life in Frazetta’s paintings that people are drawn to it, said Winiewicz. “People are automatically attracted to them, because of that visceral sense of life,” and there’s so much going on in them. “If that’s not a god-given gift, I don’t know what is.”
The Encounter: spaceship and fairy-creature
Lion Queen (colored pencil)
Funeral Pyre with Nude
The Rescue
At the Earth’s Core
Tarzan and the Golden Lion
Windblown
Tarzan the Invincible
The Lion Queen
At Earth’s Core
Lord of the Savage Jungle
Lord of the Rings—The Black Nazgul
Tarzan at the Earth’s Core
Flash Gordon and the Princess of Mongo
A Gentle Breeze
And here’s the auction book cover.
Contact the author at charliejane@io9.com and follow her on Twitter and Tumblr
Conan and the Savage Sea
Frazetta’s best friend Doc Dave Winiewicz is auctioning off his collection of Frazetta’s works on Friday at 11 AM PST. And this particular Frazetta collection isn’t the set of images you’ve seen so many times before: the beautiful, polished oil paintings of naked barbarians, monsters, and berserkers. Winiewicz specialized in collecting just Frazetta’s sketches, drawings and watercolors, giving you a very different view of the man who was arguably fantasy’s greatest artist.
Conan the Buccaneer
“The thing that separates my collection from a lot of others is that I concentrated on drawings,” Winiewicz told me when we spoke on the phone. “Because I considered Frazetta to be the greatest draughtsman who ever lived.”
Frazetta was a great creative artist who “should be part of art history,” Winiewicz added. He should be known beyond the science fiction and fantasy community or the tattoo community—he was a great and original enough talent that he should be considered an important artist in his own right. And to Winiewicz’s mind, these drawings and watercolors show off his command of figures.
Mastermind of Mars—Girl with Dagger
Most of the images in this auction were published in one way or another, mostly back in the 1960s and 1970s. But some of hte watercolors are not the final versions of the images that appeared in books or magazines. “Some of the sketches are just sketches, that he did out of the love of sketching,” says Winiewicz.
Kubla Khan
The images in this collection cover “all the different aspects of Frazetta’s career,” says Winiewicz—including some of his pornographic art as well as his art of Conan and Tarzan, plus his own creations like the Death Dealer.
Tarzan and the Castaways cover art
Winiewicz wrote an essay about Frazetta in 1979, and sent it to the artist in 1980. “I was so curious as to why I was so powerfully affected by his art.” The essay is included in the auction book (which you can read as a PDF at the auction site) and Winiewicz says Frazetta was blown away by it—he said, “That’s the best thing that’s ever been written about me.” So they became friends for the next 30 years. Winiewicz would go visit Frazetta every couple of months, and they would hang out and talk about art.
It was like if you lived in the Renaissance and you got to be friends with Michelangelo, says Winiewicz.
Tarzan at the Earth’s Core cover art
Sometimes, Winiewicz would watch Frazetta draw or paint, and say, “Frank, just tell me what you’re thinking while you’re doing this.”
And Frazetta would “engage in a stream of consciousness,” says Winiewicz. “What impressed me was the depth with which he would consider these things.” Frazetta “would build entire scenarios and entire worlds around these images.” His work always had touches of realism alongside images from fantasy, and he put a “part of his soul” into every image.
Flash Gordon Battles the Monster from Mongo
“This guy would sit down and create out of his imagination,” said Winiewicz. “95 percent of his work that he produced was an imaginative work, it wasn’t photoreference.” Frazetta didn’t work with live models or any kind of reference materials, he just drew and painted what he saw in his head.
The one exception was when he did movie posters back in the 1960s—the studios would send him photos of the films’ stars, and he would incorporate their likenesses. But “just about every piece in my catalog is a piece by Frazetta that came out of his imagination, that wasn’t derivative in any way.”
Death Dealer and Snow Queen
Frazetta created his most famous character, the Death Dealer, because “people were starting to circulate a rumor that he had lost it, that he hadn’t produced a great image in a long time,” said Winiewicz. “That got to Frank.”
He immediately sat down and painted the Death Dealer and the Snow Warriors—“two images that people love.”
Death Dealer and Snow Queen
The Death Dealer was on the cover of American Artist magazine, and it was the only time they ever had to go back for a second printing, said Winiewicz.
Lord of the Jungle (Master of Adventure cover)
There’s just so much life in Frazetta’s paintings that people are drawn to it, said Winiewicz. “People are automatically attracted to them, because of that visceral sense of life,” and there’s so much going on in them. “If that’s not a god-given gift, I don’t know what is.”
The Encounter: spaceship and fairy-creature
Lion Queen (colored pencil)
Funeral Pyre with Nude
The Rescue
At the Earth’s Core
Tarzan and the Golden Lion
Windblown
Tarzan the Invincible
The Lion Queen
At Earth’s Core
Lord of the Savage Jungle
Lord of the Rings—The Black Nazgul
Tarzan at the Earth’s Core
Flash Gordon and the Princess of Mongo
A Gentle Breeze
And here’s the auction book cover.
Contact the author at charliejane@io9.com and follow her on Twitter and Tumblr
Fender Jazzmaster Wiring Mod
Fender Jazzmaster is a very versatile kind of an electric guitar.
Four pots and two switches are giving a lot of tone configurations.
It's also something interesting for me, as someone who like to get his
own way of signal control.
I made a customized diagram of the Jazzmaster wiring. The basic difference is in the way of controlling brightness and darkness of the guitar tone. My wiring has got many options for both pickups. The original Jazzmaster circuit is offering more for the neck, than for the bridge position.
Diagram:
How it works?
Every pickup has got its own, separate volume control. Both pickups have connection to the tone control circuit. The tone control can work in two ways - with the 1M pot or with the 50K pot - the brighter and the darker way.
Neck pickup
The neck pickup has got its own 500K volume potentiometer. The yellow wire connecting the pot with the pickup switch (pickup selector).
The 500K pot is a good thing for a gradual signal muffling - if you like this "warming affect" of using the vol. ctrl.
Bridge pickup
The bridge pickup has got the 1M volume pot. It will give a brighter tone then the 500K of the neck pickup. The white wire (on the diagram it's grey) is connecting the pot to the pickup switch.
Tone control circuit
The tone control circuit is made from two pots (these above the pickups), the tone switch and the capacitor. As you can see, the green wire goes right from the pickup switch to the tone switch. By using this tone controller, you can choose which one of two pots (1M or 50K) will be working with the tone cap as a signal filter . The 50K pot will give a much darker sound than the 1M.
-----
Potentiometers are not connected to the ground by wires, because their metal covers are touching the brass (which is grounded).
I made a customized diagram of the Jazzmaster wiring. The basic difference is in the way of controlling brightness and darkness of the guitar tone. My wiring has got many options for both pickups. The original Jazzmaster circuit is offering more for the neck, than for the bridge position.
Diagram:
There is only one extra part. It's the 500K linear volume pot. I putted
it in the place where standard wiring has got the 1M pot.
The rest of modifications are based on wires and the tone capacitor connections. You can make them from the original parts.
How it works?
Every pickup has got its own, separate volume control. Both pickups have connection to the tone control circuit. The tone control can work in two ways - with the 1M pot or with the 50K pot - the brighter and the darker way.
Neck pickup
The neck pickup has got its own 500K volume potentiometer. The yellow wire connecting the pot with the pickup switch (pickup selector).
The 500K pot is a good thing for a gradual signal muffling - if you like this "warming affect" of using the vol. ctrl.
Bridge pickup
The bridge pickup has got the 1M volume pot. It will give a brighter tone then the 500K of the neck pickup. The white wire (on the diagram it's grey) is connecting the pot to the pickup switch.
Tone control circuit
The tone control circuit is made from two pots (these above the pickups), the tone switch and the capacitor. As you can see, the green wire goes right from the pickup switch to the tone switch. By using this tone controller, you can choose which one of two pots (1M or 50K) will be working with the tone cap as a signal filter . The 50K pot will give a much darker sound than the 1M.
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Potentiometers are not connected to the ground by wires, because their metal covers are touching the brass (which is grounded).
All tone options of this Fender Jazzmaster guitar wiring are combined with the 3-way pickup switch.
The wiring can give you a lot of new, cool tones. If you thinking about modifying your Jazzmaster, this diagram can be helpful.Télécharger les livres d'Arthur Rimbaud
actualitte.com
Arthur Rimbaud en 1872, photo d'Étienne Carjat
Les titres ci-dessous sont disponibles en téléchargement gratuit aux formats Mobipocket, EPUB, PDF, Word et autres :
Poésies (1870-1871), éditions Vanier, 1895, via Wikisource
Derniers vers, 1872, via Wikisource
Une saison en enfer, Alliance typographique (M. J. Poot), 1873, via Wikisource
Illuminations (1873-1875), Publications de la Vogue, 1886
Album zutique, poèmes parodiques écrits avec Verlaine, François Coppée, Armand Silvestre ou encore Léon Dierx. Parodie de poètes parnassiens, via Wikisource
Proses : Premières proses, Les Désert de l’Amour, Proses évangéliques, Brouillons d'Une saison en enfer, via Wikisource
Les Stupra ou Les Obscénités, via Wikisource
Arthur Rimbaud, né en 1854 et mort en 1891, restera pour toujours l'éternel jeune homme de la poésie française, incarnation d'une certaine soif de vivre. Ses poèmes, mais aussi quelques une de ses photographies, sont les seules traces qu'il laissa de son passage. Il est désormais possible de retrouver son œuvre gratuitement, au format numérique.
Arthur Rimbaud en 1872, photo d'Étienne Carjat
Les titres ci-dessous sont disponibles en téléchargement gratuit aux formats Mobipocket, EPUB, PDF, Word et autres :
Poésie
Poésies (1870-1871), éditions Vanier, 1895, via Wikisource
Derniers vers, 1872, via Wikisource
Une saison en enfer, Alliance typographique (M. J. Poot), 1873, via Wikisource
Illuminations (1873-1875), Publications de la Vogue, 1886
Album zutique, poèmes parodiques écrits avec Verlaine, François Coppée, Armand Silvestre ou encore Léon Dierx. Parodie de poètes parnassiens, via Wikisource
Proses : Premières proses, Les Désert de l’Amour, Proses évangéliques, Brouillons d'Une saison en enfer, via Wikisource
Les Stupra ou Les Obscénités, via Wikisource
Quand Jack Kerouac se faisait graphiste pour Sur la route
actualitte.com
En 1952, un certain Jack Kerouac fait parvenir son dernier roman, Sur la route, à plusieurs éditeurs, en vue d'une publication. Tous le refuseront, reportant la mise en vente de ce roman phare de la Beat Generation de quelques années, en 1957. Âgé de 30 ans, Kerouac a déjà des idées bien arrêtées sur la publication de son livre — jusqu'à la couverture, qu'il dessine lui-même.
Deux ans avant les premiers envois du manuscrit de Sur la route, Kerouac avait publié The Town and the City, traduit en français par Avant la route,
chez l'éditeur Harcourt Brace. Sauf que la couverture que ce dernier
avait collée sur son roman, assez austère, pas vraiment expressive,
n'avait pas plu à l'écrivain beat.
Pour l'envoi de son deuxième roman, sa grande œuvre, Kerouac ne se fait pas avoir : il dessine lui-même la couverture qu'il a imaginé pour Sur la route. Sur une lettre adressée à A.A. Wyn, éditeur, Kerouac trace les grandes lignes du design graphique de son roman « moderne » comme l'indique la couverture.
On retrouve les principaux éléments du roman, à savoir le voyage et tous les États-Unis à traverser, de Los Angeles à New York en passant par Frisco, Denver et Saint-Louis. Dans son courrier, Kerouac se montre assez direct : « Voici mon idée pour une couverture commercialement viable, attirante et fidèle au livre. » Notons également que le jeune auteur se désigne alors comme « John Kerouac »...
Kerouac se faisait volontiers peintre et dessinateur lorsque l'envie le prenait : l'exposition consacrée à la Beat Generation organisée en 2016 au Centre Pompidou permettait aux visiteurs de découvrir quelques-unes des œuvres de l'écrivain, bien moins connues que ses romans...
Quelques oeuvres picturales de Kerouac (ActuaLitté, CC BY SA 2.0)Pour l'envoi de son deuxième roman, sa grande œuvre, Kerouac ne se fait pas avoir : il dessine lui-même la couverture qu'il a imaginé pour Sur la route. Sur une lettre adressée à A.A. Wyn, éditeur, Kerouac trace les grandes lignes du design graphique de son roman « moderne » comme l'indique la couverture.
On retrouve les principaux éléments du roman, à savoir le voyage et tous les États-Unis à traverser, de Los Angeles à New York en passant par Frisco, Denver et Saint-Louis. Dans son courrier, Kerouac se montre assez direct : « Voici mon idée pour une couverture commercialement viable, attirante et fidèle au livre. » Notons également que le jeune auteur se désigne alors comme « John Kerouac »...
La lettre qui inspira Sur la route de Jack Kerouac exposée
L'idée ne suffit toutefois pas à convaincre Wyn, qui refusa le roman...Kerouac se faisait volontiers peintre et dessinateur lorsque l'envie le prenait : l'exposition consacrée à la Beat Generation organisée en 2016 au Centre Pompidou permettait aux visiteurs de découvrir quelques-unes des œuvres de l'écrivain, bien moins connues que ses romans...
Michel Moatti reçoit le Prix du meilleur roman au Festival Polar de Cognac
actualitte.com
L'ex-journaliste Michel Moatti, ancien correspondant de l'agence Reuters, auteur de plusieurs romans policiers dont Alice change d'adresse ou Blackout Baby, a reçu le Prix du meilleur roman francophone, rapporte l'AFP.
Le résumé de l'éditeur pour Tu n'auras pas peur :
Le résumé de l'éditeur pour Un coupable idéal :
Le résumé de l'éditeur pour Phobie :
Enfin, le prix des bibliothèques et médiathèques de Grand-Cognac a été décerné à Elijah de Noël Boudou, publié par les Éditions Flamant noir.
Le résumé de l'éditeur pour Elijah :
Steve Cavanagh - Un coupable idéal - trad. Benoît Domis - Bragelonne - 9791028101374 - 21,50 € / num. 9782820528117 - 12,99 €
Sarah Cohen-Scali - Phobie - Gulf Stream - 9782354884598 - 18 €
Scn. Jean Luc Fromental, dess. Miles Hyman - Le coup de Prague - 9782800155487 - 18 €
Noël Boudou - Elijah - Éditions Flamant Noir - 9791093363295
L'écrivain Michel Moatti a reçu le Prix du meilleur roman francophone lors du 22e Festival Polar de Cognac, qui s'est déroulé du 20 au 22 octobre dans la commune du Sud-Ouest de la France. Le jury a récompensé son roman Tu n'auras pas peur, paru chez HC Éditions en février 2017.
L'ex-journaliste Michel Moatti, ancien correspondant de l'agence Reuters, auteur de plusieurs romans policiers dont Alice change d'adresse ou Blackout Baby, a reçu le Prix du meilleur roman francophone, rapporte l'AFP.
Le résumé de l'éditeur pour Tu n'auras pas peur :
Tout commence par la remontée d'un cadavre à demi-congelé, attaché à un fauteuil d'avion immergé dans un étang de Crystal Palace, au sud de Londres. Puis on découvre le corps d'une jeune femme défigurée dans un hôtel de Bournemouth. Son visage a été découpé au cutter et emporté. Sur les réseaux sociaux et les blogs, les indices et les rumeurs circulent, bien plus vite que les informations officielles délivrées par la police et les journaux. Un mortel jeu de piste s'organise, dirigé par un assassin sans scrupules qui reconstitue avec autant de rigueur que de férocité les scènes de crime les plus choquantes. Quelle énigme se cache derrière ces sinistres « natures mortes » ? Lynn Dunsday, une jeune web-reporter fragile, aux lisières du burn-out, et Trevor Sugden, un journaliste qui travaille « à l'ancienne », se lancent sur les traces du meurtrier, anticipant les avancées de Scotland Yard.Le Prix du meilleur roman international est allé à Un coupable idéal de Steve Cavanagh, traduit par Benoît Domis aux éditions Bragelonne.
Le résumé de l'éditeur pour Un coupable idéal :
La CIA suspecte un célèbre cabinet d’affaires de fraude et de malversations, mais il lui manque un témoin clé. Quand David Child, un des plus gros clients du cabinet, est arrêté pour meurtre, elle confie à Eddie Flynn le soin de le faire parler en échange d’une réduction de peine. Le problème, c’est que Child répète qu’il est innocent et qu’Eddie le croit. Ancien escroc reconverti au barreau, Eddie Flynn déteste qu’on lui force la main. Mais il n’a pas le choix : la CIA a monté un dossier contre sa femme, avocate elle aussi, et menace de la faire plonger…Le Meilleur roman jeunesse de cette année 2017 est Phobie, de Sarah Cohen-Scali, aux éditions Gulf Stream.
Le résumé de l'éditeur pour Phobie :
Une odeur de moisi. Une cave. L'obscurité totale. Et la peur. La peur qui prend aux tripes. Cauchemar... ou réalité ? Anna ouvre les yeux et prend peu à peu conscience qu'elle n'est pas en train de faire le cauchemar récurrent qui la tourmente depuis son enfance, mais qu'elle est bel et bien séquestrée. Qui l'a enlevée ? Le croque-mitaine qui la terrorise depuis qu'elle a cinq ans, ou un homme de chair et d'os ? Chargé d'enquêter sur l'enlèvement de la jeune fille, le commandant Ferreira doit collaborer avec un psychiatre, le docteur Fournier. Son enquête est vite reliée à une autre, celle de la disparition du père d'Anna, onze ans auparavant. Onze années de silence et d'oubli à parcourir. Un voyage à rebours, au cour d'une mémoire secrète.Le Prix Polar de la Meilleure série BD francophone est revenu à Christian de Metter pour Nobody, chez Delcourt, et Hyman et Fromental ont reçu le Prix du Meilleur one shot pour Le Coup de Prague, publié par Dupuis.
Enfin, le prix des bibliothèques et médiathèques de Grand-Cognac a été décerné à Elijah de Noël Boudou, publié par les Éditions Flamant noir.
Le résumé de l'éditeur pour Elijah :
ELIJAH. C'est le prénom de mon petit frère. Celui que je lui ai choisi quand on me l'a mis dans les bras. Il est né alors que la violence était devenue une routine à la maison. Mon ivrogne de père terrorisait tout le monde et nous frappait tous les jours, ma mère et moi, sans que personne ne l'en empêche. Jusqu'à ce fameux soir... Quand j'ai eu dix-huit ans. J'ai attendu qu'il soit ivre à nouveau et je l'ai égorgé de sang-froid dans la cave. Hélas, ma mère venait de mourir sous ses coups en me laissant un petit frère pas comme les autres : ELIJAH. Aujourd'hui, il a dix ans et il est handicapé. Je m'occupe de lui depuis sa naissance, je sais mieux que quiconque ce dont il a besoin. Il est mon unique raison de vivre. Ensemble on est plus forts que tout, rien ne peut nous séparer. Mais un jour ILS sont venus chez moi pour le kidnapper. Qui sont ces hommes ? Pourquoi cet enlèvement ? C'est depuis ce moment-là que j'ai perdu toute raison. Je suis devenu un monstre. Comme eux. La traque pour retrouver ELIJAH , qui ne survivra pas longtemps sans moi, a commencé...Michel Moatti - Tu n'auras pas peur - HC Editions - 9782357203198 - 19 €
Steve Cavanagh - Un coupable idéal - trad. Benoît Domis - Bragelonne - 9791028101374 - 21,50 € / num. 9782820528117 - 12,99 €
Sarah Cohen-Scali - Phobie - Gulf Stream - 9782354884598 - 18 €
Scn. Jean Luc Fromental, dess. Miles Hyman - Le coup de Prague - 9782800155487 - 18 €
Noël Boudou - Elijah - Éditions Flamant Noir - 9791093363295
Les affiches des pires nanars de l'histoire exposées à Paris
actualitte.com
L'exposition est ouverte du 26 octobre au 25 novembre 2017, avec un vernissage le jeudi 26 octobre à 19h. La French Paper Gallery se trouve au 51 rue Volta 75003 Paris, métro République. L’exposition est à relier au livre d’Emmanuel Vincenot et Emmanuel Prelle, publié aux éditions Wombat : « Vos films préférés comme vous ne les avez jamais vus ! Du Star Wars turc au Harry Potter mexicain, une anthologie du cinéma de contrefaçon. »
Emmanuel Vincenot, Emmanuel Prelle – Nanar Wars - Une anthologie du cinéma de contrefaçon – Editions Wombat – 9782374980928 – 19,90 €
Emmanuel Vincenot et Emmanuel Prelle signent une anthologie du cinéma de contrefaçon, Nanar Wars, une superproduction des éditions Wombat. Trente-cinq films sont évoqués et explorés dans l'ouvrage, soit autant de piratages et récupérations étranges des succès hollywoodiens. À l'occasion de la sortie du livre, une exposition d'affiches est organisée à la French Paper Gallery, à Paris.
Connaissez-vous le King Kong indien ? L’Indiana Jones polonais ? La Batwoman mexicaine ?…
Nanar Wars
présente les plus étonnants piratages de grands succès hollywoodiens
hors des États-Unis, soit trente-cinq films tous plus délirants, fauchés
et kitsch les uns que les autres : le
Rambo
argentin, un
E.T.
espagnol, la version bollywoodienne de Zorro (avec ses numéros dansés), la copie hongkongaise de
Robocop
, mais aussi
Tijuana Jones
,
Rambito y Rambón
et
Jarry Putter
…
Entre autres titres, car l’énergie des faussaires est sans limites et
leur production surabondante. En s’appuyant sur la connaissance
universellement partagée de totems cinématographiques tels que Zorro,
Superman, Rocky ou Star Wars, l’exposition propose aux visiteurs de
saisir l’incongruité et le caractère savoureusement inattendu des
imitations auxquelles se sont livrées, sans aucun scrupule, des
générations de cinéastes fauchés mais inventifs, de Bombay à Rio, en
passant par Dacca, des années 1950 aux années 2000.L'exposition est ouverte du 26 octobre au 25 novembre 2017, avec un vernissage le jeudi 26 octobre à 19h. La French Paper Gallery se trouve au 51 rue Volta 75003 Paris, métro République. L’exposition est à relier au livre d’Emmanuel Vincenot et Emmanuel Prelle, publié aux éditions Wombat : « Vos films préférés comme vous ne les avez jamais vus ! Du Star Wars turc au Harry Potter mexicain, une anthologie du cinéma de contrefaçon. »
Emmanuel Vincenot, Emmanuel Prelle – Nanar Wars - Une anthologie du cinéma de contrefaçon – Editions Wombat – 9782374980928 – 19,90 €
Quand, invisibles, Adam et Ève massacrent des chefs yakuzas
actualitte.com
C’est une voiture de sport, conduite par une simple paire de gants blancs, qui fusent sur l’autoroute : sur son passage, elle va neutraliser un policier. Et si les gants ne suffisaient pas à créer la confusion, voici qu’une paire de chaussures en croco, sort également de la voiture. Et la suit une paire de talons hauts, qui avec une grande élégance, avance vers un bar...
Et là, on nage déjà dans le plein délire : l’homme et la femme invisibles, manifestement agissant de concert, ont décidé de prendre un verre ?
Du tout : dans ce bar, entouré d’escorts, les 7 chefs de clans yakuzas, viennent discuter de l’avenir du Japon. Ils se sont partagé les territoires, connaissent les limites de chacun, et savent que la concertation est l’unique voie pour préserver leurs intérêts. Dans cette réunion au sommet de la mafia japonaise, l’arrivée de la femme et de l’homme invisibles provoquera quelques dégâts.
En fait, tous vont mourir, les uns après les autres, façon dix petits nègres. Mais ce n’est pas Agatha Christie aux commandes. Moralité, la pègre japonaise va passer un très sale quart d’heure...
Oubliez l’ultra-violence prétendue des mangas – ici, la violence est présente, et même quelques éléments sexuels, assez étonnants : on ne donnera pas nécessairement ces deux volumes aux plus jeunes... La violence n’est pas l’objet : si, dès les premières pages, on a bien compris que personne ne survivra, la question reste, obsédante, de comprendre le pourquoi de ce jeu de massacre.
Quant à comprendre qui sont les assassins, il faudra attendre le tome 2 pour en entrevoir la réalité, avec des explications parmi les plus fantaisistes, et pourtant, pas totalement folles.
Au cœur de ce diptyque, c’est l’exploration des sens qui s’opère : chacun des chefs de clans possède une capacité sensitive ultra-développée. Est-ce ce qui les réunit ? Mais alors, pourquoi les abattre méthodiquement ? Une vengeance clanique organisée avec des démons ? Le jeu sordide de deux créatures venues d’un autre monde ?
Adam et Ève est un huis clos qui finit par être obsédant, chaque page apportant plus de questions que de réponses. Passionnant, méticuleux, et avec une intelligence incroyable, on aime, on vous le recommande et même pour vos amis... Rendez-vous le 2 novembre.
le sens de lecture n'est pas celui du manga - plus d'extraits à cette adresse
Hideo Yamamoto, Ryôichi Ikegami – Adam et Ève, Tome 1 – Editions Kaze – 9782820329257 – 8,29 € / t.2 9782820329264 – 8,29 €
La mythologie chrétienne n’a pas fini de fasciner les mangakas et de leur inspirer des récits totalement fantasques et fantastiques. Et partant des éléments les plus prosaïques, Hideo Yamamoto et Ryôichi Ikegami ont décidé de nous embarquer très loin dans la physique quantique et le jardin d’Eden... Adam et Ève sont de retour...
C’est une voiture de sport, conduite par une simple paire de gants blancs, qui fusent sur l’autoroute : sur son passage, elle va neutraliser un policier. Et si les gants ne suffisaient pas à créer la confusion, voici qu’une paire de chaussures en croco, sort également de la voiture. Et la suit une paire de talons hauts, qui avec une grande élégance, avance vers un bar...
Et là, on nage déjà dans le plein délire : l’homme et la femme invisibles, manifestement agissant de concert, ont décidé de prendre un verre ?
Du tout : dans ce bar, entouré d’escorts, les 7 chefs de clans yakuzas, viennent discuter de l’avenir du Japon. Ils se sont partagé les territoires, connaissent les limites de chacun, et savent que la concertation est l’unique voie pour préserver leurs intérêts. Dans cette réunion au sommet de la mafia japonaise, l’arrivée de la femme et de l’homme invisibles provoquera quelques dégâts.
En fait, tous vont mourir, les uns après les autres, façon dix petits nègres. Mais ce n’est pas Agatha Christie aux commandes. Moralité, la pègre japonaise va passer un très sale quart d’heure...
Oubliez l’ultra-violence prétendue des mangas – ici, la violence est présente, et même quelques éléments sexuels, assez étonnants : on ne donnera pas nécessairement ces deux volumes aux plus jeunes... La violence n’est pas l’objet : si, dès les premières pages, on a bien compris que personne ne survivra, la question reste, obsédante, de comprendre le pourquoi de ce jeu de massacre.
Quant à comprendre qui sont les assassins, il faudra attendre le tome 2 pour en entrevoir la réalité, avec des explications parmi les plus fantaisistes, et pourtant, pas totalement folles.
Au cœur de ce diptyque, c’est l’exploration des sens qui s’opère : chacun des chefs de clans possède une capacité sensitive ultra-développée. Est-ce ce qui les réunit ? Mais alors, pourquoi les abattre méthodiquement ? Une vengeance clanique organisée avec des démons ? Le jeu sordide de deux créatures venues d’un autre monde ?
Adam et Ève est un huis clos qui finit par être obsédant, chaque page apportant plus de questions que de réponses. Passionnant, méticuleux, et avec une intelligence incroyable, on aime, on vous le recommande et même pour vos amis... Rendez-vous le 2 novembre.
le sens de lecture n'est pas celui du manga - plus d'extraits à cette adresse
Hideo Yamamoto, Ryôichi Ikegami – Adam et Ève, Tome 1 – Editions Kaze – 9782820329257 – 8,29 € / t.2 9782820329264 – 8,29 €
LA galerie des gaffes : Gaston à la puissance 60
actualitte.com
Mais cet album qui célèbre le soixantième anniversaire de Gaston franchit cet écueil dès les premières planches. Drôle, réjouissant, rebondissant, surprenant, facétieux, on dirait que sa coordination a été confiée à Franquin en personne. C’est à son esprit, peut-être que les admirateurs que sont ces auteurs de BD rendent hommage.
Il y a soixante ans, un drôle de gars à gros pif débarquait à l’entrée de la rédaction du journal de Spirou : Gaston Lagaffe en personne, pas encore flanqué de sa mouette et de ses redoutables inventions paresseuses, mais déjà débordant de flemme et de nonchalance. Ses gags et mésaventures ont, pendant des décennies, réjoui non seulement les lecteurs du magazine, mais les lecteurs de BD en général, plaçant l’antihéros de Franquin parmi les personnages les plus populaires du répertoire.
60 ans de Gaston : La galerie des gaffes,
Et pourtant, malgré ce succès considérable, il n’a jamais été
sérieusement question de confier à nouvel auteur le soin de poursuivre
l’écriture des gags de l’employé le moins productif des éditions Dupuis.
Alors que le Marsupilami poursuit sa route, que Spirou lui-même a connu
bien des avatars, réinventé en gamin malpoli dans le Petit Spirou,
plongé dans le monde contemporain par Tome et Janry, puis Morvan et
Munuera, avant de creuser son sillon sous la houlette de YoannVehlmann,
recréé même par les plus grands dessinateurs et scénaristes en version
plus adulte (dans la série Le Spirou de...), Gaston, lui, est resté
Gaston.
Souvent réédité, jamais vraiment trahi (oups, me revient soudain l’image horrible des aventures de Gastoon, le neveu de Gaston, insupportables, aussi politiquement correctes que celles de son oncle étaient déplacées, mais ce n’était que le neveu et le projet éditorial a sombré après deux titres).
60 coups de chapeau
Du coup, quand les éditions Dupuis proposent à leurs auteurs de
reprendre, le temps d’une planche, le plus célèbre de tous les gaffeurs,
voilà que tous ou presque font montre à la fois de respect et
d’imagination, multiplient les trouvailles, les clins d’œil, les
émotions sincères. À travers ces soixante planches, rien ne sent le
devoir forcé ou le travail de commande : au contraire, on dirait que
chaque auteur se sent pousser des ailes, soudain enthousiasmées à l’idée
de pouvoir emprunter, le temps de quelques cases, les décors et les
personnages d’un des auteurs les plus foisonnants du XXe siècle.
Gaston Lagaffe et Franquin :
Loin d’être une contrainte, l’univers créé par Franquin semble être contagieux, il contamine celui des nombreux auteurs qui ont fait de cet album une vraie réussite. Inutile de tenter de résumer, de classer, de citer. Il serait même injuste de pointer du doigt les auteurs qui ont moins bien rebondi sur la proposition éditoriale : la vérité est indéniable, « La galerie des gaffes » est une vraie réussite, un album collectif qui fait revivre Gaston non pas sous perfusion, mais avec toute la malice et la désinvolture qui ont, depuis son apparition, servi de fil rouge à sa carrière de glandeur magistral.
À lui seul, cet album est la preuve tangible de la puissance de l’imaginaire de Franquin, capable de stimuler plusieurs générations d’auteurs qui lui ont succédé. Sa lecture devrait pour une fois convaincre aussi bien les fidèles de la première heure que les nouveaux lecteurs : même réincarné, redessiné, relooké, remixé, Gaston est un régal qui n’a pas pris une ride en soixante ans.
(Pour ne pas vous gâcher le plaisir de découvrir toutes les planches, je vous propose simplement de savourer celle imaginée par Bouzard. Le reste vous attend en librairie dès ce vendredi 20 octobre.)
Collectif – La Galerie des gaffes – Editions Dupuis – 9782800170688 –12,50 €
A priori, je n’attends pas grand-chose des hors série de magazines BD, des numéros thématiques et des hommages collectifs où chaque auteur brode autour du thème imposé, ajoutant son petit numéro de nombril sans trop savoir ce que font les collègues. Les lecteurs restent le plus souvent sur leur faim, faute de capitaine à bord du navire.
Mais cet album qui célèbre le soixantième anniversaire de Gaston franchit cet écueil dès les premières planches. Drôle, réjouissant, rebondissant, surprenant, facétieux, on dirait que sa coordination a été confiée à Franquin en personne. C’est à son esprit, peut-être que les admirateurs que sont ces auteurs de BD rendent hommage.
Il y a soixante ans, un drôle de gars à gros pif débarquait à l’entrée de la rédaction du journal de Spirou : Gaston Lagaffe en personne, pas encore flanqué de sa mouette et de ses redoutables inventions paresseuses, mais déjà débordant de flemme et de nonchalance. Ses gags et mésaventures ont, pendant des décennies, réjoui non seulement les lecteurs du magazine, mais les lecteurs de BD en général, plaçant l’antihéros de Franquin parmi les personnages les plus populaires du répertoire.
60 ans de Gaston : La galerie des gaffes,
un album pour l'anniversaire
Et pourtant, malgré ce succès considérable, il n’a jamais été
sérieusement question de confier à nouvel auteur le soin de poursuivre
l’écriture des gags de l’employé le moins productif des éditions Dupuis.
Alors que le Marsupilami poursuit sa route, que Spirou lui-même a connu
bien des avatars, réinventé en gamin malpoli dans le Petit Spirou,
plongé dans le monde contemporain par Tome et Janry, puis Morvan et
Munuera, avant de creuser son sillon sous la houlette de YoannVehlmann,
recréé même par les plus grands dessinateurs et scénaristes en version
plus adulte (dans la série Le Spirou de...), Gaston, lui, est resté
Gaston.Souvent réédité, jamais vraiment trahi (oups, me revient soudain l’image horrible des aventures de Gastoon, le neveu de Gaston, insupportables, aussi politiquement correctes que celles de son oncle étaient déplacées, mais ce n’était que le neveu et le projet éditorial a sombré après deux titres).
60 coups de chapeau
Du coup, quand les éditions Dupuis proposent à leurs auteurs de
reprendre, le temps d’une planche, le plus célèbre de tous les gaffeurs,
voilà que tous ou presque font montre à la fois de respect et
d’imagination, multiplient les trouvailles, les clins d’œil, les
émotions sincères. À travers ces soixante planches, rien ne sent le
devoir forcé ou le travail de commande : au contraire, on dirait que
chaque auteur se sent pousser des ailes, soudain enthousiasmées à l’idée
de pouvoir emprunter, le temps de quelques cases, les décors et les
personnages d’un des auteurs les plus foisonnants du XXe siècle.
Gaston Lagaffe et Franquin :
de la rédaction de Spirou aux Idées noires
Loin d’être une contrainte, l’univers créé par Franquin semble être contagieux, il contamine celui des nombreux auteurs qui ont fait de cet album une vraie réussite. Inutile de tenter de résumer, de classer, de citer. Il serait même injuste de pointer du doigt les auteurs qui ont moins bien rebondi sur la proposition éditoriale : la vérité est indéniable, « La galerie des gaffes » est une vraie réussite, un album collectif qui fait revivre Gaston non pas sous perfusion, mais avec toute la malice et la désinvolture qui ont, depuis son apparition, servi de fil rouge à sa carrière de glandeur magistral.
À lui seul, cet album est la preuve tangible de la puissance de l’imaginaire de Franquin, capable de stimuler plusieurs générations d’auteurs qui lui ont succédé. Sa lecture devrait pour une fois convaincre aussi bien les fidèles de la première heure que les nouveaux lecteurs : même réincarné, redessiné, relooké, remixé, Gaston est un régal qui n’a pas pris une ride en soixante ans.
(Pour ne pas vous gâcher le plaisir de découvrir toutes les planches, je vous propose simplement de savourer celle imaginée par Bouzard. Le reste vous attend en librairie dès ce vendredi 20 octobre.)
Collectif – La Galerie des gaffes – Editions Dupuis – 9782800170688 –12,50 €
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