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The Buzzcocks - Ever Fallen In Love (With Someone You Shouldn't've)

Pete Shelley, frontman de Buzzcocks, est mort



Un des pionniers du punk et membre fondateur de Buzzcocks, est décédé d’une attaque cardiaque

Pete Shelley, le chanteur et guitariste du groupe punk britannique Buzzcocks, est décédé jeudi. Il avait 63 ans. La cause du décès est une crise cardiaque, a confirmé Gary John Mcneish, le frère de Shelley, via un communiqué publié plus tard sur Facebook. Buzzcocks a ensuite confirmé auprès des fans la mort de son frontman.
« C’est avec une grande tristesse que nous confirmons le décès de Pete Shelley, l’un des auteurs-compositeurs les plus influents et les plus prolifiques du Royaume-Uni et co-fondateur du groupe punk original Buzzcocks, a déclaré le porte-parole. « La musique de Pete a inspiré des générations de musiciens au cours d’une carrière qui s’est échelonnée sur cinq décennies et, avec son groupe et en tant qu’artiste solo, il a maintenu une haute estime venant de l’industrie musicale et de ses fans, partout dans le monde. »
Buzzcocks est un des pilliers du punk britannique, aux côtés des Clash et des Sex Pistols. Shelley et Howard Devoto ont formé le groupe en 1975. Après le départ de Devoto, Shelley a pris la relève en tant que chanteuse et auteur-compositeur. Le groupe sort son premier EP, Spiral Scratch, en 1977, tandis que leur premier album, Another Music In a Different Kitchen, débarque l’année suivante dans les bacs et est très bien accueilli par les charts.
Le groupe a connu un certain succès à la fin des années 70, avec le single le plus en vogue, « Ever Fallen In Love… (With Someone You Shouldn’t’t have) ». S’en suit une compilation, Singles Going Steady, en 1979.
Après avoir sorti son premier album solo en 1980, Shelley quitte officiellement les Buzzcocks en 1981. Son deuxième album solo, Homosapien, est un nouveau départ musical, influencé par les synthétiseurs et les boîtes à rythmes. Les paroles de Shelley sont restées inaltérables, drôles et franches. On pense notamment aux nombreuses allusions à sa bisexualité, dont est imprégnée la chanson éponyme de Homosapien, au départ censurée par la BBC (elle est néanmoins devenue un incontournable banger dans les clubs et bar britanniques).
Shelley retrouve les Buzzcocks en 1989 et le groupe sort son quatrième album studio, Trade Test Transmissions, en 93. Au cours des décennies suivantes, le groupe tourne régulièrement et sort cinq autres albums plutôt timides, dont le dernier, The Way, en 2014.
Nombreux artistes ont  rendu hommage à Shelley. Billy Corgan, Pearl Jam, Green Day, The Cure, Edgar Wright, mais aussi Unknown Mortal Orchestra, Superchunk… Voici une pluie de messages :
Billy Corgan : « Comme beaucoup, j’étais un fan de Buzzcocks (…)  je tiendrais toujours compte dans mon coeur comment Pete et son groupe ont pu nous encourager et nous galvaniser (…) Gloire à un vrai punk »
Unknown Mortal Orchestra : « Personnellement, j’ai d’abord appris à écrire des chansons en imitant celles de Buzzcocks, cette empreinte est encore dans les racines de chacune de mes chansons. Merci Pete »
Pearl Jam : « RIP Pete Shelley. Jouer avec Buzzcocks a été l’un des moments les plus rayonnants de ma vie »
Billie Joe Armonstrong (Green Day) : « Tu es vraiment une inspiration pour moi (…) Buzzcocks a vraiment inventé un genre qui a influencé de multiples générations de coeurs solitaires et de weirdos » 

Big Brother & The Holding Company, Janis Joplin - Piece of My Heart (Tak...

Big Brother & The Holding Company : prises alternatives



Sex, Dope & Cheap Thrills
Dans A écouter, Chroniques 06/12/2018 20:00 1,481 Vues
Résumé : Janis ne nous a jamais semblé si présente, si palpable, quitte à occulter injustement, une fois encore, la ferveur du groupe qui s’active derrière elle.
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Une nouvelle réédition qui explore le passage de la chanteuse emblématique au sein du groupe d’acid-blues originaire de San Francisco

Pourquoi cet étrange sentiment d’avoir été téléporté directement dans la console tandis que, derrière la vitre, Janis et les autres enchaînent les prises de ce qui deviendra sous peu un Cheap Thrills faisant l’unanimité jusqu’à Robert Crumb, à qui il avait été demandé de l’illustrer, lui qui avouait sans ambages détester cette musique ? Est-ce parce que le principe appliqué il y a six ans avec la plongée dans les sessions de Pearl, pour la réédition de ce dernier, est à nouveau adopté ici, dans le but de permettre de redécouvrir un album de Janis Joplin à travers des prises alternatives inédites pour la plupart ? À moins que ce ne soit tout bonnement cette incandescence magnifiée pour l’éternité d’une Janis tour à tour cajoleuse et mama blues-soul exsudant tout ce qu’elle aurait gardé en elle de frustrations et de servitudes depuis trop longtemps ?
Parce que ce sont des versions plus rêches des hymnes de l’album (“I Need a Man to Love”, “Piece of My Heart”) – et d’autres qui n’y figureront finalement pas (“Catch Me Daddy”, “Farewell Song”, voire ce “Ball and Chain” capté live) – qui sont dévoilées ici, Janis ne nous a jamais semblé si présente, si palpable, quitte à occulter injustement, une fois encore, la ferveur du groupe qui s’active derrière elle.
Xavier Bonnet
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Eric Bibb ft. Habib Koité - We Don't Care

Eric Bibb : "Global Griot" aux vibrations unies



Résumé : Dans cet album dont le respect et l’élégance émanent de chaque mesure, un groove chaloupé, classieux et feutré côtoie sans honte des intonations tribales portées par un blues cher à l’artiste.
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Avec ce double opus, intitulé Global Griot, Eric Bibb convoque la passion du blues en pleine profession de foi traditionnelle

Passées l’incroyable chaleur et la générosité que laisse la première impression de ce double album, sa genèse est encore plus belle. D’une rencontre avec l’Afrique occidentale, Bibb a mis un point d’honneur à aller, au gré des agendas, enregistrer les vingt-quatre titres de ce disque divisé en deux opus avec les plus grands musiciens – griots, les troubadours africains, donc – du continent, Habib Koité et Solo Cissokho en remarquable première ligne.
Dans cet album dont le respect et l’élégance émanent de chaque mesure, un groove chaloupé, classieux et feutré côtoie sans honte des intonations tribales portées par un blues cher à l’artiste. Bibb brouille les pistes tant on se demande quel genre influence l’autre. Réponse, aucun. Signe ultime de la beauté du partage.
Charles Bloch

"Woodstock, Three Days of Peace and Music" : hippies c'est tout !



Le mythique festival de Woodstock revit à travers les pages d’un nouvel ouvrage incluant la version Blu-ray du film

Cinquante ans après, à quelques encablures près, Woodstock continue de marquer les esprits, pour ne pas dire qu’il continue de fasciner. Les raisons en sont multiples, et les différents livres qui sont appelés à sortir dans les mois qui viennent ne manqueront pas d’en décortiquer chacun des éléments. Woodstock, Three Days of Peace and Music, qui reprend l’intitulé complet et son leitmotiv, est le premier à dégainer, avec sa présentation soignée, ses plus de 130 photos ressorties des archives de noms devenus depuis des légendes à leur tour (Elliott Landy, Henry Diltz, Baron Wolman…) et son texte signé de l’auteur, journaliste et animateur radio Michka Assayas.
Pour Assayas, aucun doute, la pérennité de Woodstock s’explique par la dimension expérimentale de l’événement et par la concrétisation d’une idée, d’une philosophie jusque-là utopique, qui trouvait en la circonstance une concrétisation, aussi éphémère fût-elle. “Depuis la création d’ateliers artistiques au début du XXe siècle, la région de Woodstock a toujours incarné une forme de retour à la nature pour les citadins new-yorkais, explique Assayas. Woodstock, c’est un paysage idyllique à une heure à peine en voiture de la ville la plus active, la plus dynamique et probablement aussi la plus polluée, en tout cas en Amérique du Nord. Le mouvement hippie a embrassé à son tour cette tentation de retour à la vie à la campagne et le festival l’a repris à son compte en quelque sorte, avec le sentiment qu’il pouvait  symboliser une nouvelle vie ou l’appartenance à une nouvelle ère naissante.” Bien sûr, l’une des forces de Woodstock réside dans son programme musical et les prestations impérissables qu’ont pu offrir Santana, Janis Joplin ou Jimi Hendrix improvisant, au petit matin du lundi (à cause d’un retard colossal pris par les précédents concerts), cette version de l’hymne américain que l’on entendrait dès lors absolument partout.
Mais, s’il ne s’agit en aucune façon d’en minimiser la portée, c’est aussi l’envers du décor qu’a voulu narrer Assayas. Celui des artistes, avec cette anecdote succulente d’un Grateful Dead que l’on supplie de ne pas installer son matériel sur scène, de peur que cette dernière ne résiste pas au poids de l’ensemble, mais aussi du point de vue du public, dont les pérégrinations ont souvent tourné au cauchemar. “Certains de ceux dont je suis allé chercher le témoignage ont vécu une forme d’apocalypse, confirme l’auteur. À faire des heures de queue pour espérer atteindre les toilettes, à dormir à même le sol et la boue sur des matelas qui  glissaient le long des pentes des collines, sans rien avoir à manger ni à boire. C’est presque un miracle que les choses n’aient pas viré au chaos absolu, que les gens ne se soient pas entretués.”
Sa légende, tout le monde sera d’accord pour l’admettre, c’est aussi et surtout via le lm qui y fut tourné que Woodstock se l’est forgée – un film que l’on retrouve ici dans une version remasterisée avec plus de trois heures de bonus supplémentaires, dont deux de performances et documentaires exclusifs. “Le film a fourni au festival une poésie, une magie, une aura de conte fantastique, conclut Assayas. Il lui a aussi donné un côté épique, avec ces images de garde civile, d’hélicoptères… C’était presque une scène de guerre, mais sans violence, ce qui, dans une certaine mesure, est l’autre grand miracle de Woodstock !”
Xavier Bonnet
Woodstock, Three Days of Peace and Music, de Michka Assayas, disponible dès maintenant chez GM Éditions/Carlotta.
woodstock

Mark Knopfler : Walk of Life



Prolifique comme jamais, Mark Knopfler entend désormais tracer sa route différemment.

Comme pour Privateering il y a six ans, Mark Knopfler s’est montré généreux à l’occasion de Down the Road Wherever : 25 morceaux à l’époque et 20 ici, si l’on compte les bonus tracks prévus pour une édition augmentée de ce nouvel album. “Trop de chansons, je suis désolé”, s’amuse l’intéressé, qui met cette profusion sur le compte de l’âge : “Plus je vieillis, plus je suis productif. Peut-être parce que je n’ai plus à courir dans tous les sens…
L’âge, le temps, la distance entre passé et présent sont autant de notions qui transpirent de ces nouvelles chansons, des histoires qu’il raconte, des multiples personnages qu’il dépeint. Comme si, à l’approche de ses 70 ans, qu’il fêtera en août l’année prochaine, se déconnecter du moment présent et prendre du recul étaient nécessaires pour l’ancien leader de Dire Straits. “Ce n’est en aucun cas de la nostalgie, précise-t-il. Mais cette notion de temps, de perspective, est de plus en plus intéressante à mesure que tu vieillis. Tu regardes et abordes les choses en permanence à travers un autre prisme. C’est aussi une façon d’expliquer ou de rappeler que, si les temps changent, les gens, eux, ne changent pas, n’apprennent souvent pas grand-chose du passé. Ce genre de constat nourrit forcément un songwriter qui se penche sur ce genre de sujets. Je sais qu’il me faudrait patienter et intégrer cette notion de recul par rapport au présent s’il me venait l’idée d’écrire à propos du Brexit, par exemple. J’ai besoin de ce décalage. Une chanson comme ‘One Song at a Time’, qui figure sur ce nouvel album, possède cette dimension où plusieurs époques se télescopent au fil des strophes. Ce n’est pas forcément nouveau dans mon écriture, mais c’est une chose vers laquelle je tends de plus en plus.
Le titre “One Song at a Time”, c’est à Chet Atkins que Knopfler le doit, à la faveur d’une phrase que lui avait lancée la grande figure de la country music : “Je suis sorti de la pauvreté une chanson après l’autre.” C’est donc aussi, pour le guitariste, une façon de rendre un hommage appuyé à quelqu’un qui, de son propre aveu, l’a beaucoup marqué.
Sans surprise, la touche Knopfler est omniprésente, et immédiatement identifiable, sur ce nouvel album. L’intéressé considère pourtant que son jeu de guitare a changé au fil du temps, qu’il s’est feutré. “Il s’est en quelque sorte distillé, précise-t-il. Je me suis tellement concentré sur l’écriture des chansons que je l’ai un peu négligé en tant que tel. D’ailleurs, si la prochaine tournée est la dernière, comme prévu, il se peut que je prenne des cours de guitare auprès d’un professeur accompli. Je sais que mon jeu n’a jamais été orthodoxe. Je considère que je joue comme un plombier ! Que l’on ne se méprenne pas, j’aime ma façon de jouer. C’est juste qu’elle ne me satisfait pas forcément en tant que musicien. Quand je dis que je me sens moins musicien que songwriter, ce n’est pas pour rien !
Dernière tournée” ? Oui, vous avez bien lu. Comme d’autres (Eric, si tu nous entends…), Mark Knopfler renonce. L’âge avance, son dos le fait souffrir… Pas besoin de vous faire un dessin. Alors, le monsieur est OK pour quelques concerts de-ci de-là, mais c’en est fini des gros barnums qui s’étirent sur de longs mois. En tout cas, ce sera fini après la tournée de 2019, qui ne prévoit pas moins de six étapes en France, entre mai et juillet. “Down the road wherever”, disait-il ?
Xavier Bonnet

Guitare en Scène 2019 : Midnight Oil et Mark Knopfler à l'affiche !



Du 11 au 14 juillet, le festival Guitare en Scène débarque à Saint-Julien-en-Genevois en compagnie d’un (très) bon début d’affiche… Dont Midnight Oil et Mark Knopfler !

2 scènes, 5000 places ! Un événement intimiste, qui revient en 2019 sur les chapeaux de roues. Du 11 au 14 juillet 2019, on retrouvera notamment le groupe Midnight Oil, qui effectue l’année prochaine son premier retour sur scène en 15 ans, pour défendre ses hits « Beds Are Burning », « The Dead Heart », « Dreamworld »et « Put Down That Weapon », issu du classique Diesel and Dust. « Il y a tant de salles dans lesquelles nous n’avons pas encore joué, avec tant de nouvelles choses à dire. C’est aussi simple que cela » a commenté le groupe à propos de la tournée à venir.
Mais ce n’est pas tout, Guitare en Scène peut également se vanter de la venue du grand Mark Knopfler, dont le dernier opus, Down The Road Wherever, est sorti dans les bacs cette année. Nul doute que le musicien écossais viendra interpréter les classiques de son groupe de prédilection, Dire Straits.
Le line-up se complète du troubadour folk John Butler Trio, qui viendra présenter son nouvel album, HOME, ainsi que de Alan Nimmo et sa bande d’adeptes du groove, les King King. Un très bon démarrage, pour Guitare en Scène, qui porte décidément bien son nom.
Le programme, so far :
Jeudi 11 juillet : Midnight Oil, King King, John Butler Trio,… 
Vendredi 12 juillet : à venir.
Samedi 13 juillet : à venir.
Dimanche 14 juillet : Mark Knopfler,… 
Par ici pour accéder à la billetterie.

Iggy Pop produira une série TV dédiée au punk



Le Godfather of Punk en personne, Iggy Pop, s’apprête à produire une mini-série de quatre épisodes dédiée au mouvement, et garnie d’invités prestigieux

Sobrement intitulé Punk, le projet, co-produit par John Varvatos (ami de longue date d’Iggy Pop, dont le label, John Varvatos Records, accueillera le premier album des Pretty Vicious l’an prochain), sera diffusé dès le 11 mars 2019 sur la chaîne Epix aux États-Unis. Au programme : une relecture complète du genre qui a repoussé les barrières de l’expression et de la contestation dans la pop music durant les années 70.
Déjà portée par une des figures emblématiques du mouvement (on surnomme encore Iggy Pop le « Godfather of Punk », un titre également attribué à Pete Townshend, Lou Reed ou encore Joey Ramone), la série verra une impressionnante brochette d’invités tous plus légitimes les uns que les autres : John Lydon (« chanteur » des Sex Pistols), Marky Ramone, Wayne Kramer (MC5), Debbie Harry et Chris Stein (respectivement chanteuse et guitariste de Blondie), Jello Biafra (Dead Kennedys), Dave Grohl (qu’on ne présente plus), Flea (bassiste des Red Hot Chili Peppers), Duff McKagan (des Guns N’ Roses), ou encore Danny Fields (le boss du mythique label Elektra Records), Penelope Spheeris (réalisatrice, entre autres, de Wayne’s World) et le journaliste Legs McNeil.
Pas de date de diffusion annoncée pour la France pour le moment.

Keith Richards pose la bouteille : "J'en ai eu marre"



Le guitariste des Rolling Stones, Keith Richards, s’apprête à entamer une gigantesque tournée américaine (presque) sans alcool. Une délivrance – pour lui, mais aussi pour ses acolytes

« Ça fait presque un an maintenant, raconte-t-il à Rolling Stone US. J’ai coupé les ponts avec tout ça. J’en ai eu marre. » À 74 ans, le vieux briscard des Rolling Stones se reprend définitivement en main à l’aube d’une nouvelle tournée américaine qui s’étendra d’avril à juin 2019. Tout en admettant ne pas refuser « un verre de vin de temps en temps, ou une bière« , le frère d’armes de Mick Jagger reconnaît qu’il « était temps d’arrêter. » « Ça a fini par me mettre mal à l’aise. J’ai donné. Je n’en ai tout simplement plus envie. »
Une décision saluée par ses camarades, en particulier Ronnie Wood, qui n’a plus touché à une goutte d’alcool (ni au reste) depuis 2010. « C’est un plaisir de travailler avec lui, a-t-il déclaré. Il est beaucoup plus souple, bien plus ouvert, alors qu’avant, il m’arrivait de serrer les dents en me disant ‘Là, il va m’envoyer chier pour ça.’ Maintenant, il me dira juste ‘C’est cool mec.’ »
« C’était intéressant de jouer sobre » commente Keith Richards, avant que Ronnie Wood n’ajoute : « On a une meilleure perception de nos guitares. On ressent mieux les espaces, les respirations qu’il peut y avoir entre nous. On a 70 ans bien tassés, mais on groove comme si on en avait 40 !«

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