prime student

The Big Beats ~ Mi Nsumõõ Bo Dõnn

Philippe Ménard "Laundromat"

White Line Blues Johnny Winter

Johnny Winter - Check Out Her Mama

Le bluesman nantais a attendu 41 ans avant de parler à Johnny Winter


Philippe Ménard, bluesman nantais, est un homme heureux. Il a enfin pu rencontrer le rocker Texan Johnny Winter lors du festival de blues de Rosmalen en Hollande, la semaine dernière. Quarante et un an après eu la révélation de sa vie.

Ce guitariste et chanteur de blues albinos, né en 1944 et dont le premier album « The Progressive Blues Experiment » est sorti en 1968 (il en a réalisé plus de 25 depuis) est actuellement en tournée en Europe. « J’ai attendu 41 ans pour vivre ce moment », sourit Philippe Ménard, qui vient de souffler les bougies de son 58e anniversaire. « C’était en 1970. J’avais 17 ans, j’étais avec mon frère et nous étions allés voir ce concert, à un festival de blues à Aix-en-Provence. Je suis resté la bouche ouverte, l'émotion était trop forte ! J’ai tout quitté pour ne faire que du blues. Je lui dois ma carrière de musicien ».

Johnny Winter, le vieux rocker américain, fatigué, qui donne encore des concerts assis (sauf pour les deux derniers morceaux) a apprécié l’anecdote. « On s’est retrouvé dans sa caravane, une sorte de camping car, il y avait une incroyable proximité. Il n’en sort que pour aller sur scène ». Les deux hommes ont discuté quelques instants avant de reprendre la route, chacun de leur côté. La route du blues.

Source MaVille

Dans les coulisses d'un concert de Little Bob, le rocker du Havre



Source LeMonde

Une prestation live surprise de Billy Gibbons et Johnny Depp


Le guitariste de ZZ Top a surpris son public en se produisant en live en compagnie du comédien Johnny Depp.
Il y a quelques jours, les fans de ZZ Top ont eu droit à une petite surprise alors que le guitariste Billy Gibbons se produisait en live dans un club à Austin, au Texas. Johnny Depp, de passage dans la ville à l'occasion de l'Austin Film Festival, est monté sur scène et a rejoint le musicien et sa bande pour faire un boeuf pendant 90 minutes. Le comédien et sa guitare ont fait chauffer la salle, qui était pleine à craquer. Ce n'était pas la première fois que le conjoint de Vanessa Paradis jouait au rockeur. En juin dernier, il avait accompagné à la guitare Alice Cooper dans une petite salle de Londres, le club 100, devant un public très surpris.

Source MusicActu

Les White Stripes sur la voie du retour ?


Selon Jack White, l'état de santé de Meg White pourrait permettre un retour du groupe dans un avenir proche.
C'est la rumeur et certainement le buzz du jour, du mois, voire de l'année : les White Stripes pourraient se reformer dans un futur plus que proche. Dans des propos rapportés par plusieurs sites Internet américain, Jack White s'est en effet confié sur la possibilité d'un retour en compagnie de Meg White, dont les soucis de santé liés à une anxiété extrême avaient en partie conduit à l'arrêt momentané de tournée et de carrière du groupe au milieu de l'année 2007. "Je ne pense pas que son anxiété existe encore. Elle est toujours impliquée et prête à revenir. Je n'ai rien prévu après le mois prochain, alors pourquoi pas ? Mais cela pourrait être encore trop rapide...", a-t-il confié.

Jack White est en effet un homme très occupé depuis qu'il a mis de côté l'aventure White Stripes. Il a en effet monté deux groupes alternatifs, The Raconteurs et The Dead Weather, dont le deuxième album, "Seo Of Cowards", paraîtra le 10 mai. Il est également à la production du premier opus de son épouse, Karen Elson, à venir dans le courant de l'année. Mais les White Stripes sont bien dans un coin de sa tête. Pour preuve la sortie du CD et du DVD live intitulé "Under Great White Northern Lights" au mois de mars dernier . Enregistré lors de la tournée canadienne de la formation en 2007, dans des salles intimistes, il reprend ses plus célèbres morceaux comme "Blue Orchid", "Icky Tump" ou encore "Seven Nation Army".


Source MusicActu

Amy Winehouse : sa mort est due à l'alcool

Amy Winehouse est morte d'un abus d'alcool


La chanteuse britannique Amy Winehouse est morte des suites d'un empoisonnement à l'alcool, selon les conclusions de l'officier de police judiciaire chargé d'enquêter sur les causes de son décès en juillet dernier.

Le coroner Suzanne Greenaway a fait état mercredi d'une "mort accidentelle" due à des doses d'alcool massives absorbées par la diva de la soul après plusieurs semaines d'abstinence.

L'interprète de "Rehab", qui connaissait des problèmes de dépendance à l'alcool et à la drogue depuis des années, a été retrouvée morte dans son lit, à son domicile londonien, le 23 juillet. Elle avait 27 ans.

Le pathologiste Suhail Baithun a déclaré lors de l'enquête qu'Amy Winehouse avait consommé une "très large quantité d'alcool" et présentait un taux d'alcoolémie plus de cinq fois supérieur à la limite légale imposée aux conducteurs au moment de sa mort.

Une première autopsie n'avait pas abouti à des conclusions définitives mais avait permis de découvrir qu'il n'y avait pas de traces de drogues illégales dans l'organisme de l'artiste.

L'inspecteur de police Les Newman, appelé après la découverte d'Amy Winehouse par un agent de sécurité, a souligné que trois bouteilles de vodka vides avaient été trouvées dans la chambre de la chanteuse.

D'après le Dr. Christina Romete, médecin d'Amy Winehouse, l'artiste avait recommencé à boire au cours des jours qui avaient précédé sa mort après une période d'abstinence. Le médecin, qui l'avait vue la nuit avant sa mort, a expliqué que la chanteuse était "gaie" mais calme. Elle a confié que l'artiste n'avait pas parlé de suicide et avait évoqué son anniversaire, au mois de septembre.

Christina Romete a ajouté que des médicaments avaient été prescrits à la chanteuse, dont le sédatif Librium afin de l'aider lors du sevrage alcoolique mais le coroner a affirmé qu'ils n'avaient joué aucun rôle dans sa mort.

Chris Goodman, porte-parole de la famille d'Amy Winehouse, a annoncé que les proches de la chanteuse étaient soulagés de savoir ce qui était "arrivé à Amy".

La chanteuse a été vue pour la dernière fois par son agent de sécurité Andrew Morris, qui dit l'avoir vue rire et écouter de la musique la nuit avant son décès. L'homme a expliqué qu'il savait qu'elle avait recommencé à consommer de l'alcool, mais qu'il n'avait rien remarqué d'inhabituel avant de la découvrir dans son lit, ne respirant plus, l'après-midi suivant.

"Elle ne buvait pas pour être ivre", a-t-il dit aux enquêteurs.

Une trop grande quantité d'alcool dans l'organisme peut causer une grave déshydratation, une hypothermie, des problèmes respiratoires et un arrêt cardiaque, entre autres conséquences.

Il n'y a pas de dose minimum dans les cas d'empoisonnement à l'alcool et l'état varie en fonction de l'âge de la personne, du sexe, du poids, de la vitesse à laquelle l'alcool est absorbé et d'autres facteurs tels que la consommation de drogue.

"Il est plus facile" d'abandonner "l'héroïne" que d'abandonner "l'alcool", observe le Dr. Joseph Feldman, chef des services d'urgence du Centre médical universitaire d'Hackensack, dans le New Jersey, précisant que le sevrage alcoolique peut notamment s'accompagner d'anxiété ou encore d'hallucinations.


L'album "Back to Black" (2006), qui avait valu à Amy Winehouse de décrocher cinq Grammy Awards aux Etats-Unis, a récemment été certifié numéro un des meilleures ventes de disques en Grande-Bretagne au XXIe siècle.

Adorée par ses fans pour son style et sa voix unique, la chanteuse a cependant fait les grands titres de la presse ces dernières années pour d'autres raisons liées à sa toxicomanie, ses frasques ou ses relations tumultueuses.

En juin dernier, elle a brutalement annulé une tournée en Europe qui signait son retour sur scène, après un piètre concert à Belgrade, la capitale serbe, hué par le public.

Amy Winehouse a fait sa dernière apparition publique trois jours avant sa mort, rejoignant brièvement sur scène sa filleule, la chanteuse Dionne Bromfield, au Roundhouse à Camden, près de son domicile. Sa famille a créé en septembre une fondation qui porte son nom.

Selah Sue et Ben Harper à Porto Latino



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Festival Vache de Blues



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Roland Tchakounté au Cahors blues festival



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Tito Jackson à l'Hospitalet



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Aux origines était le blues...


Des tripots clandestins du Sud des États-Unis aux scènes mythiques des quatre coins du monde, le blues aura connu un essor fulgurant au XXe siècle ! Aujourd'hui considéré comme le père du rock, du jazz ou de la soul, le genre continue de tracer sa route et fera escale à La Charité-sur-Loire, dans la Nièvre, où le festival Blues en Loire propose de découvrir des pointures du genre vendredi 26 et samedi 27 août 2011.

Le blues, état d'âme de toute une communauté

Difficile de définir le blues en quelques mots... Soit, certaines caractéristiques musicales le différencient des autres styles de musique mais l'important et ailleurs. Peut-être dans cette définition que le chanteur Little Brother Montgomery donnait dans son morceau First time I met the blues, au début du XXe siècle : "La première fois que j'ai rencontré le blues, il marchait à travers les bois / Il frappa à ma porte et me fit le plus de mal qu'il pût / Maintenant le blues m'en veut et me poursuit d'arbre en arbre / Tu aurais dû m'entendre implorer : "M. Blues, ne m'assassine pas !" / Tu es avec moi dès le matin, mais aussi chaque nuit et chaque après-midi". Le blues serait ainsi avant tout un état d'âme, qui présente toutefois la particularité d'exprimer le mal-être de toute une communauté...

Ainsi le définit en tout cas Gérard Herzhaft, auteur de La Grande encyclopédie du blues*... "Le blues est aujourd'hui une musique reconnue, appréciée et pratiquée dans le monde entier. Mais pendant longtemps, celui-ci a essentiellement été le véhicule chanté et joué de la communauté noire du Sud des États-Unis. Pauvres, méprisés, illettrés, exploités et rejetés par un système ségrégationniste très dur, les Noirs ont vécu le blues et ne l'ont pas choisi. L'histoire du blues, son évolution, ses mutations successives sont inséparables de la longue remontée à la surface du peuple noir américain pour qui, pendant plusieurs décennies, le blues a été plus qu'une musique, son principal moyen d'expression, jouant dès lors un rôle sociologique et psychologique communautaire".

Les chants d'esclaves, forme originelle du blues ?

Quand et comment le blues est-il né ? En général, la réponse fait l'unanimité : il provient des chants des esclaves noirs du Sud des États-Unis. Dans son Journal d'un séjour dans une plantation de Géorgie, l'actrice anglaise Fannie Kemble, mariée à un riche planteur de Géorgie, donne par exemple ses impressions sur les chants d'esclaves : "Les chansons des Noirs sont extraordinairement sauvages et difficiles à relater. La manière dont le chœur éclate entre chaque phrase de la mélodie que chante une voix soliste est très curieuse et efficace".

Elle précise également la fonction de ces chants : rythmer le travail et le faire apparaître plus léger. Ce qui fera d'ailleurs dire - sans ironie - au congressiste Daniel De Jarnette, revenant en 1860 d'un voyage dans les plantations du Sud : "Les nègres des plantations chantent en travaillant. Je l'affirme : il y a plus de joie de vivre et de bonheur sans nuages chez les esclaves du Sud que parmi aucune autre population laborieuse du globe". Pour Gérard Herzhaft, "le chant traditionnel africain, avec un soliste et le répons en chœur du groupe, a semble-t-il été transposé tel quel sur les plantations américaines. Il s'agit, bien entendu, des work-songs, encore employés jusque vers 1960 dans les pénitenciers du Sud pour repris de justice noirs". Bien que cette forme ait joué un rôle très important dans l'élaboration du blues, il est toutefois trop rapide de considérer que le style existait déjà au temps de l'esclavage. La naissance du blues proprement dit se situerait probablement à l'extrême fin du XIXe siècle où à l'aube du XXe...

Du chant de travail au chant de "divertissement"

La fin de la guerre de Sécession en 1865 et l'occupation du Sud par les nordistes ont amené dans une large mesure la disparition des plantations d'un seul tenant et le morcellement en petites fermes. Dans le même temps, les chaînes d'esclaves travaillant attachés les uns aux autres et reprenant en chœur les work-songs d'un leader étaient démantelées. A leur place se développa le chant d'un cultivateur solitaire guidant sa mule ou tirant son araire, saluant le sifflement d'un train dans le lointain ou le bruit du vent dans les branchages, improvisant sans contrainte autre que celle de la tradition nichée au cœur de son inconscient...

D'autre part, ceux qui choisirent - ou durent - abandonner les travaux agricoles formèrent rapidement un sous-prolétariat urbain et misérable. En outre, l'existence de cette catégorie sociale créait une extraordinaire demande de divertissements : débits de boissons, salles de jeux, tripots clandestins, maisons closes avec, partout, de la musique. Très vite, une catégorie sociale est apparue dans ces nouvelles communautés noires : celle de musicien, aveugle ou handicapé, inapte au travail manuel... Très souvent itinérant, le musicien, raconteur d'histoires, chanteur de chansons, passait de village en village, distrayant ouvriers et contremaitres, travailleurs agricoles et forestiers, en échange du gîte, du couvert et d'une bouteille de whisky.

"Parallèlement, les chanteurs élaborent alors, sur le modèle des ballades populaires d'origine anglo-saxonne, de véritables chansons de geste qui parlent des hommes noirs aux hommes noirs. Tel fait divers, telle personnalité, tel quartier de telle ville, tel brigand donnent matière à une ballade qui sera colportée dans les villes et villages du Sud", précise Gérard Herzhaft. Et c'est ainsi que, quelque part au début du XXe siècle, du fermier solitaire, du pianiste de tripot et du chanteur itinérant, le blues a surgi.

L'industrie du disque découvre le blues

Le développement rapide du parc des gramophones portables - et donc du marché du disque - immédiatement après la Première guerre mondiale poussera ensuite les compagnies de disques américaines à élargir leur production, jusqu'alors réservée aux amateurs de musique classique et de variétés. A cette époque, Chicago et surtout le quartier de Harlem, à New York, comptaient déjà une importante population noire, grossie encore par l'économie de guerre. "Certaines familles installées parfois depuis fort longtemps formaient une petite bourgeoisie locale qui fréquentait assidûment les cabarets de Harlem où l'on distillait tous les soirs un blues - nostalgie du Sud - joué ou chanté dans un contexte de jazz - affirmation de son urbanité", note Gérard Herzhaft.

Dans ce contexte, le chef d'orchestre noir Perry Bradford, certain de trouver un important public local pour des disques de cette musique, entre en studio en 1920 pour enregistrer Crazy Blues... Le morceau aura non seulement un énorme succès à New York mais, à la surprise des producteurs, également parmi les Noirs du Sud dont les gramophones attendaient désespérément un disque qui soit proche de leur musique habituelle : le blues. Comme Crazy Blues se vend alors à 75.000 exemplaires par semaine, les autres compagnies saisissent rapidement l'importance du marché ainsi révélé et enregistrent à une cadence soutenue les premiers disques de blues... C'est l'heure de gloire pour des chanteurs et guitaristes tels que Blind Lemon Jefferson, Blind Blake ou encore Lonnie Johnson. "Ces enregistrements furent connus sous le terme de race records - musique raciale - car ils étaient destinés exclusivement au public afro-américain", explique Gérard Herzhaft.

L'explosion

Après la Seconde guerre mondiale, l'urbanisation croissante et l'utilisation des amplificateurs pour la guitare et l'harmonica menèrent à un blues plus électrique, le Chicago blues par exemple, qui ajoutait à la base classique du Delta blues - guitare acoustique et harmonica - des instruments comme la guitare électrique, la basse, la batterie, le piano, voire des cuivres... Ce blues électrique, porté par des artistes tels que Muddy Waters ou Howlin' Wolf, influencera par la suite une partie du mouvement rock'n'roll.

Les années 1960 furent celle de la réappropriation du blues par les musiciens blancs, notamment en Angleterre, où une nouvelle génération d'enthousiastes du genre apparaît... Les principaux acteurs de ce british blues boom sont les Yardbirds, les Bluesbreakers ou encore les Animals, qui comptent dans leurs rangs de nombreuses stars de la pop et du rock à venir telles que Jimmy Page, Eric Clapton ou Jeff Beck. Depuis les années 1980, le blues fait désormais partie de l'entertainment musical et des artistes tels que Robert Cray, Bonnie Raitt, Taj Mahal, Ry Cooder ou encore Ali Farka Touré attirent - ou ont attiré - les foules. Quand la musique d'une minorité devient porte-parole universelle...

Bibliographie

- Gérard Herzhaft, Le blues, Presses universitaires de France, 2008.
- Gérard Herzhaft, La grande encyclopédie du blues, Fayard, 1997.
- Stéphane Koechlin, Le blues, Librio, 2000.

Festival Blues en Loire
Vendredi 26 août, de 17h à minuit, et samedi 27 août 2011, de 11h à 23h30.
58 400 - La Charité-sur-Loire

Source de l'info DijOnScOpe

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Amy Winehouse: l'hypothèse de l'overdose



Un «ami» de la chanteuse, qui dit avoir partagé sa dernière soirée, affirme qu'elle a acheté pour 1.400 euros de coke, de crack et d'héroïne la veille de sa mort.

Les résultats des examens toxicologiques pratiqués sur la dépouille d'Amy Winehouse sont attendus d'ici à trois semaines. Mais une déclaration d'un ami de la chanteuse, retrouvée sans vie le 23 juillet pourrait, si elle se révèle exacte, apporter un éclairage décisif sur la disparition de l'icône soul.

Selon le site britannique Spinner, Tony Azzopardi, un homme de 56 ans notoirement consommateur de stupéfiants, a déclaré avoir rencontré son «amie» Amy Winehouse à 23h30 la veille de sa mort devant un bar situé près du domicile de la chanteuse, dans le nord de Londres.

L'homme prétend que tous deux ont pris un taxi pour le quartier de West Hampstead, où ils rejoignent un dealer que tous deux connaissaient. Amy Winehouse lui aurait acheté pour 1.200 livres (1.400 euros) de cocaïne, crack et héroïne. «Après, elle m'a fait un bisou sur la joue, et c'est la dernière fois que je l'ai vue», prétend Tony Azzopardi.

Ce dernier, qui a fait la connaissance de la chanteuse via l'ex-mari de cette dernière, Blake Fielder-Civil, explique avoir choisi de raconter le déroulé de cette soirée par peur que le dealer en question – un «gros bonnet», selon Azzopardi – tente de le faire disparaître pour l'empêcher de témoigner. Et, aussi, dit-il, «pour que la famille d'Amy connaisse la vérité».

Un témoignage qui intervient alors que, selon ses amis, la chanteuse était clean les semaine précédant sa mort. L'ancien coiffeur de la star prétend, quant à lui, le contraire. «J'ai parlé plusieurs fois avec elle la quinzaine qui a précédé sa disparition. Notamment de son show catastrophique de Belgrade», que la chanteuse, incapable de chanter ses morceaux, a été forcée d'interrompre. «Je n'avais jamais vu Amy dans cet état et ça m'a fait tomber en larmes.»

Source NextLibération

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You Know I'm No Good - Partition Tabs Tablature

...YOU KNOW I'M NO GOOD... by Amy Winehouse
--------------------------.................

*from 'Back To Black (2006)*


Intro:

(Drums)

(Bass):

e|-----------------|-----------------|
B|-----------------|-----------------|
G|-----------------|-----------------|
D|-----------------|-----------------|
A|--5-5-------3-4--|--5-5-------3-4--|
E|-------5-5-------|-------5-5-------| (x2)

Verse 1:

Dm Gm
Meet you downstairs in the bar, and heard,
A7 Dm
Your rolled up sleeves and your skull t-shirt.
Dm Gm
You say why did you do it with him today?
A7 Dm
And sniff me out like I was Tanqueray.

Bridge 1:

Gm
'Cos you're my fella, my guy;
E7
Hand me your Stella and fly.
F
By the time I'm out the door,
E7 A7
You tear me down like Roger Moore.

Chorus 1:

Dm Am E7 Am
I cheated myself, like I knew I would.
Dm Am E7 Am
I told ya, I was trouble; you know that I'm no good.

Break:

(n.c)

(Baritone Sax Riff):

e|------------------|
B|------------------|
G|------------------|
D|------------------|
A|--0--2-3-2--------|
E|------------5--0--|

Verse 2:

Dm Gm
Upstairs in bed with my ex boy;
A7 Dm
He's in the place, but I can't get joy.
Dm Gm
Thinking of you in the final throws;
A7 Dm
This is when my buzzer goes.

Bridge 2:

Gm
Run out to meet your chips and bitter,
E7
You say when we're married, 'cos you're not bitter.
F
There'll be none of him no more;
E7 A7
I cried for you on the kitchen floor.

Chorus 2:

Dm Am E7 Am
I cheated myself, like I knew I would.
Dm Am E7 Am
I told ya, I was trouble; you know that I'm no good.

(Baritone Sax Riff):

e|------------------|
B|------------------|
G|------------------|
D|------------------|
A|--0--2-3-2--------|
E|------------5--0--|

Horn Interlude:

Dm Am E7 Am (x2)

(Horns Play):

e|----------------|--------------|--------------|
B|----------------|-----------5--|--5-----------|
G|--7--7b9--5-----|-----5--------|-----7--5-----|
D|-------------7--|--7-----7-----|-----------7--|
A|----------------|--------------|--------------|
E|----------------|--------------|--------------|

e|-----------|----------------|--------------|--------------|
B|-----------|----------------|-----------5--|--5-----------|
G|-----5-----|--7--7b9--5-----|-----5--------|-----7--5-----|
D|--7-----7--|-------------7--|--7-----7-----|-----------7--|
A|-----------|----------------|--------------|--------------|
E|-----------|----------------|--------------|--------------|

e|---------------|
B|---------------|
G|-----5------7--|
D|--7-----7------|
A|---------------|
E|---------------|

Verse 3:

Dm Gm
Sweet reunion, Ja-maica and Spain;
A7 Dm
We're like how we were again.
Dm Gm
I'm in the tub; you on the seat,
A7 Dm
Lick your lips, as I soak my feet.

Bridge 3:

Gm
Then you notice lickle carpet burn;
E7
My stomach drops yeah and my guts churn.
F
You shrug, and it's the worst,
E7 A7
To truly stuck the knife in first.

Chorus 3:

Dm Am E7 Am
I cheated myself, like I knew I would.
Dm Am E7 Am
I told ya, I was trouble; you know that I'm no good.

Chorus 2:

Dm Am E7 Am
I cheated myself, like I knew I would.
Dm Am E7 Am
I told ya, I was trouble; you know that I'm no good.

Outro:

Dm Am E7 Am

(Horns Play):

e|----------------|--------------|--------------|
B|----------------|-----------5--|--5-----------|
G|--7--7b9--5-----|-----5--------|-----7--5-----|
D|-------------7--|--7-----7-----|-----------7--|
A|----------------|--------------|--------------|
E|----------------|--------------|--------------|

e|-----------|----------------|--------------|--------------|
B|-----------|----------------|-----------5--|--5-----------|
G|-----5-----|--7--7b9--5-----|-----5--------|-----7--5-----|
D|--7-----7--|-------------7--|--7-----7-----|-----------7--|
A|-----------|----------------|--------------|--------------|
E|-----------|----------------|--------------|--------------|

(Repeat to Fade)


CHORD DIAGRAMS:
---------------

Dm Gm A7 E7 F Am

EADGBE EADGBE EADGBE EADGBE EADGBE EADGBE
xx0231 355333 x02223 020100 133211 x02210

Amy Winehouse - You Know I'm No Good

Partition - Rehab

Chorus 1:

C7
They try to make me go to rehab; I say no, no, no,
Yes I've been black but when I come back; you'll know, know, know.
G7 F7
I ain't got the time and if my daddy thinks I'm fine;
C7 F7 C7
He's tried to make me go to rehab; I won't go, go, go.

Verse 1:

Em Am
I'd rather be at home with Ray,
F Ab
I ain't got seventy days.
Em Am
'Cos there's nothing, there's nothing you can teach me,
F Ab
That I can't learn from Mr Hathaway.

Bridge 1:

G7
I didn't get a lot in class,
F7
But I know it don't come in a shot glass.

Chorus 2:

C7
They try to make me go to rehab; I say no, no, no,
Yes I've been black but when I come back; you'll know, know, know.
G7 F7
I ain't got the time and if my daddy thinks I'm fine;
C7 F7 C7
He's tried to make me go to rehab; I won't go, go, go.

Verse 2:

Em Am
The man said why do you think you here?
F Ab
I said; I got no idea.
Em Am
I'm gonna, I'm gonna, lose my baby,
F Ab
So I always keep a bottle near.

Bridge 2:

G7
He said I just think you're depressed,
F7
Yes me, yeah baby and the rest.

Chorus 3:

C7
They try to make me go to rehab; I say no, no, no,
Yes I've been black but when I come back; you'll know, know, know.

Verse 3:

Em Am
I don't ever want to drink again,
F Ab
I just, ooh I just, need a friend.
Em Am
I'm not gonna spend ten weeks,
F Ab
And have everyone think I've gone mad.

Bridge 3:

G7
And it's not just my pride;
F7
It's just 'till these tears have dried.

Chorus 4:

C7
They try to make me go to rehab; I say no, no, no,
Yes I've been black but when I come back; you'll know, know, know.
G7 F7
I ain't got the time and if my daddy thinks I'm fine;
C7 F7 C7
He's tried to make me go to rehab; I won't go, go, go.


CHORD DIAGRAMS:
---------------

C7 G7 F7 Em Am F Ab

EADGBE EADGBE EADGBE EADGBE EADGBE EADGBE EADGBE
x32310 353433 131211 022000 x02210 133211 466544

Amy Winehouse - Rehab

Partition Back To Black

'Back To Black (2006)*


Intro:

Dm Gm Bb7 A7

Verse 1:

Dm Gm
He left no time to re-gret,
Bb7 A7
Kept his dick wet, with his same old safe bet.

Dm Gm
Me...and my head high,
Bb7 A7
And my tears dry; get on without my guy.

Verse 2:

Dm Gm
You went back to what you knew,
Bb7 A7
So far removed, from all that we went through.

Dm Gm
And I...tread a troubled track,
Bb7 A7
My odds are stacked; I'll go back to black.

Chorus 1:

Dm Gm
We only said goodbye with words; I died a hundred times.
Bb7 A7 (n.C) (Dm)
You go back to her and I go back to...I go back to us.

Verse 3:

Dm Gm Bb7
I love you much, it's not e-nough;
A7
You love blow and I love puff.

Dm Gm
And life is like a pipe,
Bb7 A7
And I'm a tiny penny rolling up the walls inside.

Chorus 2:

Dm Gm
We only said goodbye with words; I died a hundred times.
Bb7 A7
You go back to her and I go back to...

Dm Gm
We only said goodbye with words; I died a hundred times.
Bb7 A7
You go back to her and I go back to...

Break:

(n.C)

Bridge 1:

Dm Gm
Black...black,
F A7
Black...black.

Dm Gm
Black...black,
F A7
Black...I go back to...I go back to...

Chorus 3:

Dm Gm
We only said goodbye with words; I died a hundred times.
Bb7 A7
You go back to her and I go back to...

Dm Gm
We only said goodbye with words; I died a hundred times.
Bb7 A7 Dm
You go back to her and I go back to black.


CHORD DIAGRAMS:
---------------

Dm Gm Bb7 A7 F

EADGBE EADGBE EADGBE EADGBE EADGBE
xx0231 355333 x13131 x02223 133211

BACK TO BLACK... by Amy Winehouse

LE MEILLEUR DES FESTIVALS ROCKS


Les campings surpeuplés, les pieds dans la gadoue, l'espace vital réduit à néant ou presque avec des effluves de bière et d'herbes aromatiques… Comme il n'y a pas que Les Vieilles Charrues, Main Square et les Eurockéennes dans la vie des fans de rock, Evene a sélectionné une poignée de festivals où l'on peut se trémousser en paix. Ou presque.

La suite Ici La sélection d'Evene.fr

Baby King et autres nouvelles noires et blues

Jean-Claude Renoux

Baby-King veut devenir bluesman. Pas facile quand on bégaie des doigts ! Mais il y a la légende "Robert Johnson", musicien exécrable des années 30, qui disparut deux ans et qui jouait comme un dieu lorsqu'il réapparut ! On dit qu'il vendit son âme au diable en échange de ce don... Sue-Helen aime le blues et les hommes, mais aucun d'amour. Mis à part Abe mais Abe est un ange et les anges n'ont pas de sexe. Thérèse est femme de ménage. On lui parle un jour d'une autre femme de ménage, devenue star du blues à Chicago...


Langston Hughes : poète jazz, poète blues

La poésie de Langston Hughes (1902-1967), poète majeur du xxe siècle américain, s'est développée dès les années 1920 en parallèle avec les musiques populaires que sont le blues et le jazz et parfois même avec les spirituals. Elle se pose à la fois comme un hommage à la culture noire et comme un geste esthétique original. Du début de sa carrière jusqu'aux années 196o, Hughes va chercher à déplacer vers le domaine poétique les caractéristiques rythmiques et thématiques des musiques qu'il aime et qui animent la vie des Noirs américains. Que ce soit dans The Weary Blues (1926) et Fine Clothes to the Jew (1927) ou beaucoup plus tard dans Montage of a Dream Deferred (1951) et Ask Your Marna (1961), Hughes fait le pari de la poésie jazz et de la poésie blues en s'attachant avant tout à la musicalité du poème, indépendamment d'une mise en musique qu'il juge secondaire. Cet ouvrage, qui constitue la première monographie consacrée à Langston Hughes depuis 1964, montre l'évolution de la pensée et de la poésie de l'écrivain et propose la lecture de ses poèmes "musicaux" les plus essentiels. Ce parcours permet de mesurer l'inventivité de sa démarche poétique et sa fécondité puisque des auteurs tels que Gwendolyn Brooks, Jack Kerouac ou encore Margaret Walker se sont largement inspirés de ce que Hughes lui-même appelait ses "poèmes jazz " et ses "poèmes blues".


Mélancolie du rocker


par Toby Litt




Pour le jeune groupe canadien Okay, la vie a longtemps rimé avec sexe, drogue et rock’n roll. Mono est le bassiste, Crab, le percussionniste, Syph, le chanteur adulé, et Clap, le batteur.

Ils sont jeunes, talentueux et fous de musique. Une musique qui les comble, comme elle peut les détruire. Sur scène, le succès est au rendez-vous. Mais côté coulisses, la réalité est tout autre... partagée entre solitude, jalousie et désenchantement.

Vingt ans et quelques échecs discographiques plus tard, le temps d’un ultime bilan et des adieux est venu. À 42 ans, Clap vient d’apprendre qu’il est atteint d’un cancer. Il revient sur l’histoire de ses amis musiciens, sur ces années 60, sur ces nuits et ces jours qui les ont vus grandir et se détruire.

Une existence ni pleinement réussie, ni pleinement ratée. Une existence d’éternels grands enfants pour qui il était impossible de véritablement devenir adulte.

Souce Edition Phébus

Patti Smith participe à "New York section criminelle"



La chanteuse Patti Smith effectuera l’un de ses rares passages devant la caméra à l’occasion du prochain épisode de la série policière New York section criminelle, annonce la chaîne USA Network. Les téléspectateurs américains la découvriront dimanche 19 juin prochain dans la peau d’une professeur en mythologie.

L’enquête du 19 juin prochain mènera l’inspecteur Goren (Vinceny d’Onofrio) dans les coulisses d’une comédie musicale intitulée Icarus dont l’un des acteurs a été assassiné. Pour mettre la main sur le meurtrier, le policier fera appel àhttp://www.blogger.com/img/blank.gif l’expertise de son amie Cleo Alexander, professeur de mythologie à l’université de Columbia.

L’épisode en question, qui accueillera également Cynthia Nixon de Sex and the City, représentera l’avant-dernière affaire criminelle de la série. Après dix ans d’aventures, New York section criminelle s’achèvera définitivement la semaine suivante sur la première chaîne câblée des Etats-Unis, USA Network.

Source TeleObs.

Cahors Blues




La trentième édition du Cahors Blues Festival sera grandiose en juillet. Aux grands noms déjà annoncés, quelques autres se sont rajouté ces derniers jours.

Plus haut, plus grand plus fort, plus tout ! La 30e édition du Cahors Blues Festival, du 9 au 16 juillet, dont les grands contours avaient été révélés dès le mois de décembre par Jean-Pierre Lemozit, le président, Robert Mauriès et toute leur joyeuse bande de bénévoles, s'est encore enrichie de drôles de sucreries.

On savait déjà que des stars (Keziah Jones, Louis Bertignac, Johnny Winter, Warren Haynes, Johnny Gallagher et d'autres encore) seraient de la partie. Mais on ignorait jusqu'à hier matin et la conférence de presse organisée à l'hôtel de ville, que d'autres divines surprises allaient enrober de plaisirs une 30e édition historique. Robert Mauriès a donc annoncé, avec le sourire aux lèvres qu'on imagine, la venue de Paul Personne, le grand bluesman français, qui donnera la réplique à son ami Bertignac, le 16 juillet pour une clôture aux petits oignons… Le mardi 12 juillet, pour la soirée « Inside the blues » parrainée par La Dépêche du Midi, Michaël Jones, l'ancien guitariste de Jean-Jacques Goldman s'emploiera sur la scène de Bessières, avec Fred Chapellier, Nina Attal, Rachelle Plas et l'électrique irlandais Johnny Gallagher.

Ce programme devrait donc attirer la grande foule à Cahors du 9 au 16 juillet. Et pour mieux accueillir festivaliers, partenaires et le grand public, les organisateurs ont agrandi la « jauge » de l'espace Bessières qui passera de 1 400 à 3 000 places. Si le temps est clément, le record de spectateurs sera sûrement pulvérisé : « Nous sentons que nous attirons un nouveau public, ont assuré hier Jean-Pierre Lemozit et Robert Mauriès. Il y a un engouement, une passion autour du festival blues ».



Voir le site du CAHORS BLUES FESTIVAL 2011

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Basic Slide Guitar Techniques

How to play blues slide guitar

Dr House chante du blues

Enregistré entre Los Angeles et la Nouvelle-Orléans, "Let Them Talk" constitue un véritable manifeste du blues typique New-Orleans. Une vraie surprise.


Hugh Laurie - Guess I'm a Fool par mostprod


Après l’avoir regardé dans la série Dr House, après avoir lu et relu son thriller "Tout est sous contrôle", c’est avec une certaine appréhension qu’on attendait cet album aux sonorités très blues, aux accents très Louisianais.



Dès le premier morceau, l’interprète nous replonge dans l’atmosphère des débuts du blues avec des harmonies et des arrangements très simples mais terriblement efficaces. Une longue introduction au piano ouvre l’album, et dès l’entrée de la voix nous retrouvons notre cher médecin si cynique. Hugh Laurie se plaît au fil des morceaux à marier les instruments, à plonger sa voix dans une ambiance très rythm’n’blues à laquelle nous ne sommes pas totalement étrangers. Cela rappelle en effet les premiers morceaux des Rolling Stones, eux-mêmes emprunts d’influences très blues dès leur débuts dans les "shakin’ sisxties". Les sonorités des différents instruments sont mixées avec beaucoup de brio.



L’album bénéficie d’une production solide et redoutable. On retrouve le très adulé Jœ Henry dans le siège du producteur, ce fameux songwriter passionné de blues. On est agréablement surpris par le savant mélange du piano et de la guitare slide, un peu moins par les arrangements de saxophone même s’ils restent fidèles au style abordé. On retrouve avec plaisir des instruments oubliés dans le blues, comme la clarinette et le violon.



Le jeu de notre cher Dr House est assez délicat, tant à la guitare que derrière le clavier, on découvre une grande sensibilité artistique et musicale pour notre grand bonheur. Vers le milieu de l’album on peut commencer à se lasser, les morceaux se ressemblent tous plus ou moins … mais une nouvelle voix féminine caresse nos oreilles et nous plonge à nouveau dans cet agréable et chaude ambiance de la Louisiane du début du siècle dernier. Un charmant duo vocal rappelle étrangement les envolées de Lisa Fisher (la choriste "number one" des Stones) et Mick Jagger.



On s’attendrait presque à entendre les doigts de Keith Richards sur un manche de Telecaster ! Plus loin, une pompe manouche, des phrases de guitare étrangement "Reinhardtiennes", toujours avec cette imperturbable voix au timbre si bluesy, légèrement éraillée, et un flot d’accent très "vintage".



L’album est réalisé avec peu d’audace technique, les instruments sont mixés comme à l’époque, sans artifices inutiles. Il y a l’essentiel, ni plus, ni moins. Même la batterie sonne comme une batterie des twenties, à croire qu’elle a été enregistrée avec trois micros, encore une fois comme à l’époque. Il n’y a que le piano qui bénéficie d’une prise de son "moderne", très proche, et ne laissant pas respirer l’instrument. C’est dommage mais ce n’est que le seul défaut majeur de l’album qui n’en est pas vraiment un dans la mesure où ce parti pris colle parfaitement au style.



Enregistré entre Los Angeles et la Nouvelle-Orléans, "Let Them Talk" constitue un véritable manifeste du blues typique New-Orleans, avec un mixage laissant à Hugh Laurie la possibilité de nous faire entendre ses talents incontestables de musicien multi instrumentiste, et de moderniser ce style de blues, de le remettre au goût du jour, mais sans trop y toucher. L’essentiel est là, Mr Laurie nous plonge dans les rues de la Louisiane des années 1910. On entend que l’artiste se fait plaisir, cela nous fait plaisir. On en redemande !

Un article du Nouvel Observateur

Calvin Russell Let the music play (NPA live, 21.01.1997)

Calvin Russell au paradis du blues





La France a accueilli Calvin Russell à bras ouverts au début des années 90, tel un trésor caché ignoré dans son propre pays. Jusque-là, le natif d’Austin était du genre à prendre le petit sentier de l’échec plutôt que la six-voies menant au succès. Sixième d’une famille de neuf, papa est cuistot, maman serveuse et toute la famille chante.

Dès 11 ans, Calvin attrape une six-cordes, mais ses frasques l’envoient vite en maison de correction puis en taule. A la sortie, en bon hobo fan de Willie Nelson, il donne de rares concerts dans les bars d’Austin où, attiré par ce blues suintant la sincérité, Patrick Mahé le signe en France chez New Rose. Il s’impose dès "A Crack in Time" en 90, et c’est mort de trac qu’il foule à 41 ans ses premières scènes dignes de ce nom.

Avant de sortir "Sounds From the Fourth World" en 1991 et l’hymne “Crossroads”. Toujours sans un écho aux Etats-Unis... Mais ici, avec son corps émacié, son visage buriné, où chaque ride raconte une histoire, et son galure vissé sur la tête, Russell en imposait à peine avait-il passé la porte. Une “tronche” rescapée de l’ère du noir et blanc et des bras couverts de tatouages de taulard lui ouvraient la sympathie du public.

Et on l’aurait bien vu dans le récent "Winter’s Bone", rude et superbe fresque white trash qu’il aurait pu mettre en musique. S’il n’a pas toujours retrouvé la magie de ses débuts sur disque, sur scène c’était un régal. Jusqu’à l’ultime album, un live à Paris, "Contrabendo", sorti en janvier dernier.




Source MetroFrance

A Lax, le blues rock est à la fête


De grands noms du blues et du rock, un bon millier, voire plus, de personnes massées sous un chapiteau, une bande de « fous » réunis par la même passion depuis des années… La recette a largement fait ses preuves. Tous ces ingrédients vont donc être réunis, ce samedi, pour le neuvième festival Lax'n blues.

L'an passé, le président Didier Bastonéro et son équipe avaient frappé un grand coup en invitant Scottland, formation d'inconditionnels des mythiques AC-DC première période (avec l'inoubliable Bon Scott). Cette année, l'association réalise un nouveau coup de maître en invitant une véritable légende du rock des années '70. Il s'agit de John Coghlan, batteur des vingt premières années d'existence des fameux Status Quo. Ayant les droits sur les plus grands tubes de ce que Didier Bastonéro appelle « la bonne époque » du groupe, le public peut donc s'attendre à du bon rock seventies de derrière les fagots avec le John Coghlan's Quo.

Mais avant, les fans auront l'occasion de (re) découvrir quelques formations qui, dans d'autres styles, mais toujours blues et rock, font preuve d'un sacré talent. C'est le duo Two Timers (l'ex-guitariste de Dr Feelgood et une chanteuse à la voix superbe) qui ouvrira le « bal » avec du blues acoustique. « Histoire de se mettre doucement dans l'ambiance », commente Didier Bastonéro.

Ensuite, les décibels vont augmenter avec Burning Dust. Un trio de Parisiens 100 % rockabilly à la présence scénique époustouflante. « C'est pas du blues, c'est vrai, mais ça bouge vraiment bien », s'excusent presque les organisateurs du festival.

Cependant, le blues reviendra sur scène avec Shake Your Hips. Cinq Parisiens, encore, qui prouvent que le « bon vrai blues rock » n'est pas le seul apanage des « Ricains ».

Tout ceci promet donc une superbe soirée, ce samedi du côté de Lax, à partir de 19 heures (10 €, billets en vent sur place uniquement). D'autant qu'entre les groupes, il n'y aura pas vraiment de temps mort avec la fanfare rock et déjantée Rock Box.

Un article de LaDépêche

Espagne: un Musée du rock dans la nouvelle "cathédrale des loisirs" de Barcelone

Un Musée du rock a ouvert vendredi dans la nouvelle "cathédrale des loisirs" de Barcelone, dernière en date des créations culturelles de la capitale catalane installée dans d'anciennes arènes réhabilitées.
Premier de ce genre en Europe, le Musée du rock abrite des salles dédiées aux Beatles, aux Rolling Stones et à d'autres groupes moins illustres de rock espagnol. Il aura fallu huit ans de travaux et 200 millions d'euros pour que voit le jour le complexe commercial et culturel ultramoderne installé dans les Arènes, théâtre de grandes corridas au 20ème siècle. Le Musée du rock offre des espaces consacrés aux grandes années du rock, des expositions temporaires et une salle de concert de 200 places. Des objets cultes sont exposés, comme un billet d'entrée pour un concert des Rolling Stones signé de tous les membres du groupe et une guitare de John Lennon. Plus inattendu, le texte d'une plainte pour tentative "d'enlèvement" déposée contre John Lennon et Yoko Ono aux Baléares par le premier mari de Yoko Ono, qui avait eu une fille avec elle. Les amateurs pourront aussi s'improviser musiciens sur la fausse scène du On Stage, en jouant d'un instrument, lisant sur un écran le texte de leur chanson préférée, sous les habituels rayons lumineux colorés des scènes de concert. Le rockeur amateur pourra repartir après avoir acheté le DVD de sa prestation. Il trouvera dans la boutique des livres consacrés à ses idoles, des sous-verres ou des casquettes décorées du "Yellow Submarine" des Beatles. (DGO)

Un Article de RTLINFO

TAB Stop Crying Your Heart Out Oasis

"Stop Crying Your Heart Out" by Oasis from "Heathen Chemistry" (2002).

Chord Legend (Standard Tuning, no CAPO). This is the acoustic version as seen
on The Panel. This version is 99% accurate. Corrected by Clement Tsang

E A D G B E
Bm x 2 4 4 3 2
Bm(add11) x 2 4 4 3 0 he actually plays it: x99700
Asus2 x 0 2 2 0 0
E 0 2 2 1 0 0
Esus 0 2 2 2 0 0
Em7 0 2 2 0 3 3
G 3 2 0 0 3 3
D x x 0 2 3 2
Asus4 x 0 2 2 3 0


Bm Asus2 [E Esus4]
Hold on, hold on, don’t be scared
G
you’ll never change what’s been and gone
Bm Asus2 [E Esus4]
may your smile, shine on, don’t be scared
G
your destiny may keep you warm

D Asus4
Cause all of the stars are fading away
Em7 G
try not to worry you’ll see them some day
D Asus4
take what you need and be on your way
G (single, pause)
and stop crying your heart out


Bm(add11) Asus2 E
Get on, come on, why you scared
G
you’ll never change what’s been and gone


D Asus4
Cause all of the stars are fading away
Em7 G
try not to worry you’ll see them some day
D Asus4
take what you need and be on your way
Em7 G
and stop crying your heart out


D Asus4
Where all of the stars were fading away
Em7 G
try not to worry you’ll see them some day
D Asus4
take what you need and be on your way
Em7 G
and stop crying your heart out
Em7 G
stop crying your heart out
Em7 G
stop crying your heart out
Em7 G (single, pause)
stop crying your heart out

Stop Crying Your Heart Out Oasis

TAB Wonderwall Oasis

Wonderwall, by Noel Gallagher & Oasis - V1.0



Tune guitar in standard EADGBE tuning

CHORDS USED:

F#minor A Major B Major D Major Esus4

EADGBE EADGBE EADGBE EADGBE EADGBE
244222 002220 224442 x00232 022200


INTRO:

(Acoustic-sounding guitar)

F#m A Esus4 B
F#m A Esus4 B
F#m A Esus4 B
F#m A Esus4 B


VERSE 1:

F#m A
Today is gonna be the day

Esus4 B
That they're gonna throw it back to you

F#m A
By now you should've somehow

Esus4 B
Realised what you gotta do

F#m A
I don't believe that anybody

Esus4 B D Esus4 B
Feels the way I do about you now


VERSE 2:

F#m A
Backbeat the word is on the street

Esus4 B
That the fire in your heart is out

F#m A
I'm sure you've heard it all before

Esus4 B
But you never really had a doubt

F#m A Esus4
I don't believe that anybody feels

B F# A Esus4 B
The way I do about you now


BRIDGE:

D Esus4 F#m
And all the roads we have to walk are winding

D Esus4 F#m
And all the lights that lead us there are blinding

D Esus4
There are many things that I would

F#m Esus4 A
Like to say to you

Esus4 B
But I don't know how


CHORUS:

D F#m A
Because maybe

F#m D F#m A
You're gonna be the one that saves me?

F#m D F#m A
And after all

F#m D F#m A F#m (hold) A
You're my wonderwall


VERSE 3:

F#m A
Today was gonna be the day

Esus4 B
But they'll never throw it back to you

F#m A
By now you should've somehow

Esus4 B
Realised what you're not to do

F#m A
I don't believe that anybody

Esus4 B
Feels the way I do

F#m A Esus4 B
About you now


BRIDGE:

D Esus4 F#m
And all the roads that lead you there are winding

D Esus4 F#m
And all the lights that light the way are blinding

D Esus4 F#m Esus4 A
There are many things that I would like to say to you

Esus4 B
But I don't know how


CHORUS:

D F#m A
I said maybe

F#m D F#m A
You're gonna be the one who saves me?

F#m D F#m A
And after all

F#m D F#m A F#m
You're my wonderwall

D F#m A
I said maybe (I said maybe)

F#m D F#m A
You're gonna be the that who saves me?

F#m D F#m A
And after all

F#m D F#m A F#m
You're my wonderwall

D F#m A
I said maybe (I said maybe)

F#m D F#m A
You're gonna be the one that saves me? (that saves me)

F#m D F#m A
You're gonna be the one that saves me? (that saves me)

F#m D F#m A F#m
You're gonna be the one that saves me? (that saves me)


ENDING:

Solo TAB (Play 8 times):

E ---|-----5-2-|-----
B -3-|-2-3-----|-----
G ---|---------|-----


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